Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

samedi 29 juin 2013

Hypersensibilité électromagnétique : vers une prise en considération

Compte-rendu de la réunion du 27 juin au Ministère de la Santé
Le collectif des Electrosensibles de France et Priartem ont été reçus ce jour par M. JérômeSALOMON, conseiller en charge de la sécurité sanitaire au cabinet de Mme Marisol TOURAINE, Ministre de la Santé.
C’est avec satisfaction que nous avons senti une réelle prise en considération de notre problématique et le souhait de la traiter, selon ses propos, comme une question de santé publique en émergence.
Dans une démarche constructive, en adéquation avec nos revendications, des engagements ont été pris :
- de nous proposer un rendez-vous prochainement à la Direction Générale de la Santé pour avancer sur nos demandes
- de nommer un référent pour le suivi du dossier à la Direction Générale de la Santé ou à la Direction Générale de l’Offre de Soins et notamment pour travailler sur la prise en charge
- de saisir l’INVS (Institut National de Veille Sanitaire) pour réaliser une étude de la prévalence et de l’incidence et mettre en place une surveillance sanitaire, notamment par les réseaux de médecins
- d’appuyer les initiatives d’ouverture de l’INVS aux associations afin de profiter de l’expertise citoyenne
Concernant l’étude Cochin et son postulat purement psychogène, nos critiques ont été entendues. Les perspectives de nouvelles recherches, au niveau de l’ANSES, de l’ANR et du PHRC, pour comprendre les mécanismes et prendre en charge les malades ont été envisagées.
Nous l’avons également interpellé sur la question du WIFI et des tablettes à l’école, car nous avons reçu des témoignages d’enfants et d’enseignants électrosensibles. Il nous a informés de la récente saisine de l’ANSES par le Ministère concernant l’impact des radiofréquences et des lignes électriques sur les enfants de moins de 6 ans ainsi que de la mission mandatée par le Premier Ministre sur la sobriété électromagnétique.
Le collectif - 09.72.35.48.05 - presse@electrosensible.org - www.electrosensible.org
P.R.I.A.R.Té.M - 01.42.47.81.54 - priartempdte@orange.fr
Mots-clés associés à cet article : Electrosensibilité

 PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

mercredi 26 juin 2013

LA RÉGLEMENTATION DES ANTENNES-RELAIS : UNE JURISTE RÉPOND À VOS QUESTIONS

Écrit par J.Maherou Créé le mercredi 26 juin 2013 13:18
M.EmpinetLes antennes-relais font polémique, et pour cause ! Les ondes électromagnétiques qu’elles émettent ont été classées comme « peut-être cancérigènes » pour l’Homme. Ce « peut-être » signifie qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas de certitude scientifique sur la toxicité de ces ondes, mais de sérieux doutes - doutes qui doivent nous encourager à nous protéger. Pourtant, il n’existe aujourd’hui aucune loi réglementant l’implantation de ces antennes-relais. C’est l’anarchie qui règne et les riverains se trouvent fort dépourvus lorsqu'une antenne se pose sur leur toit ! Peut-on s'opposer à ce type d'implantation ? A qui s'adresser ? Quels sont les recours possibles ? Toutes ces questions que vous nous avez posées au fil du temps, nous les avons transmises à l'UFC Que Choisir d'Aix-en-Provence, qui s'est employée à y répondre avec la participation de Margaux Empinet (photo ci-contre), étudiante en Droit alors stagiaire à l’UFC Que-Choisir.
L’ASEF : Pourquoi installe-t-on des antennes-relais ?
UFC Que-Choisir : Les opérateurs installent des antennes-relais, car ils doivent assurer la meilleure couverture possible du territoire en matière de communications électroniques. C’est un impératif public. D’un autre côté, protéger la santé publique est un autre impératif public… Les deux peuvent s’avérer contradictoires.
Si les antennes relais portent atteinte à la santé publique, ne devraient-elles pas être interdites ou au moins régulées ?
Suite sur le site de l'Association Santé Environnement : Cliquez ici

mardi 25 juin 2013

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne est pour le moins troublante !


Immeuble le Général,  Aubagne en Provence 

la liste des décès et pathologies s'allonge !

17 antennes relais

Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998

***********************************************************************************************************


Le 30 Janvier 2013

 la Ministre de l'Economie Numérique

Fleur Pellerin 

a mis en garde contre les 

"peurs irrationnelles"   

*
Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43

Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40

Le 24/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43

Le 10/04/2014 un nouveau cas (cancer du foie) à l'entrée 40

Le 2/03/2014 un nouveau cas (cancer du pancréa) à l'entrée 42

Le 8/1/2014 un nouveau cas d'AVC à l'entrée 43

Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC à l'entrée 43 

Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifiés à l'entrée 40

Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) à l'entrée 41

Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45

Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et  2009) identifié à l'entrée 40 !

Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !

Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) à l'entrée 42 !

Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 

Troublant non !

L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relaisl'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).
43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.
Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Français







samedi 8 juin 2013

Ondes électromagnétiques : INVS, l’ouverture c’est maintenant ?

Mercredi 22 mai marque une étape importante dans la mise en œuvre de nouvelles formes de rencontre et de dialogue entre le monde de la science et la société civile. Il est dommage que cette étape ne soit pas aussi celle d’une approche renouvelée de la question sanitaire posée par l’existence d’un cluster potentiellement imputable à une pollution environnementale.
Voyons tout d’abord le côté positif des choses et saluons la venue à Rexpoëde des agences sanitaires. C’est une première qui va dans le sens de l’ouverture nécessaire du dialogue et de la transparence seuls à même de rétablir un climat de confiance que les nombreux scandales de santé publique ont largement entamé.
Le public dans la salle, par son écoute et sa constance, a montré qu’il était sensible à l’effort ainsi consenti.
Janine Le Calvez, après quelques atermoiements des organisateurs, a pu s’exprimer à la tribune au même titre que les représentants de l’ANSES, de l’INVS et de la CIRE. Elle a ainsi pu donner la vision qu’a l’association Priartem de l’état des connaissances scientifiques et des exigences qui en découlent en termes de santé publique. Elle a insisté, notamment, sur la nécessité de protéger tout particulièrement les enfants dont on s’accorde aujourd’hui à reconnaître la vulnérabilité toute particulière, aux effets des radiofréquences.
Les interventions des agences ont fait clairement apparaître le décalage entre les attentes de la société civile vis-à-vis de la veille sanitaire et la position des agences.
Janine Le Calvez, dans son intervention est revenue sur le contenu des présentations des Agences présentes. Elle a ainsi souligné le caractère fermé et rigide des protocoles présentés par l’INVS et la CIRE et a incité les scientifiques à "changer de dogme". Les pollutions environnementales posent des problèmes nouveaux face auxquels les approches traditionnelles sont inopérantes. Il faut donc inventer de nouvelles méthodologies d’analyse pour comprendre, anticiper, gérer. Inventer c’est aussi le rôle de la science. Elle a d’ailleurs signalé que Priartem a demandé à l’ANSES et à l’INVS de comparer les six cas de clusters de cancers infantiles dans des écoles exposées aux rayonnements d’antennes-relais de téléphonie mobile que l’association a recensés.
Les questions dans la salle lors du débat ouvert après les différentes interventions sont largement revenues sur ces différents aspects. Sur la vision figée du cluster tout d’abord : "deux cas ne suffisent pas" selon l’INVS ce qui a provoqué la réaction de la maman du jeune garçon atteint d’un cancer du cerveau : "alors il vous en faut un 3ème ?". Sur l’approche exclusivement statistique loin de l’analyse du terrain ensuite. Un père d’élève a ainsi constaté avec amertume : " au fond pour vous, nos enfants sont des petits ronds ou des petits bâtons que l’on met dans des cases".
Janine Le Calvez a rappelé alors ce que signifiait, pour son association et celle de Rexpoëde Environnement, la demande d’enquête sanitaire. Cette demande était justifiée par l’existence de deux cas de cancers infantiles dans l’école mais portait plus largement sur l’état de santé des enfants fréquentant cette école. L’exposition aux radiofréquences a, sur nos organismes, des effets multiples qui peuvent être à l’origine de pathologies différentes, les cancers n’étant que l’une de celles-ci. Si on ne recherche qu’un effet induit par un facteur déterminé, nous sommes dans une approche où le hasard se trouve élevé au rang d’une catégorie suprême. L’analyse d’une situation sanitaire qui peut être corrélée aux rayonnements des antennes-relais ne doit donc pas se limiter à vérifier, en chambre, si les deux cas de cancer sont similaires ou non ni à se contenter d’un rapport des mesures réalisées dans l’école sans vérifier de façon précise à quel endroit avaient été prises ces mesures. Elle a d’ailleurs rappelé que ce rapport mettait en évidence le fait que le champ rayonné par les antennes d’Orange (commanditaire de la mesure et souvent le principal contributeur) était nul, ce qui pose problème.
Il y a encore un long chemin à parcourir pour que le dialogue entre agences sanitaires et riverains puisse être apaisé. La minimisation des signaux de risque et l’insuffisance de la prise en compte de la question posée ne peuvent contribuer à l’apaiser. Nous ne demandons pas aux agences de dire qu’il faut déplacer les antennes. Nous attendons d’elle un discours clair sur l’état actuel des connaissances et une ouverture sur des approches innovantes.
Sur le premier thème, il ne nous semble pas acceptable de devoir rappeler que l’OMS n’a pas classé comme possiblement cancérigènes pour l’homme les seuls téléphones portables mais bien l’ensemble des radiofréquences. Si les agences de santé publique ne peuvent être tenues responsables des décisions politiques en cours concernant le déploiement de la téléphonie mobile et leurs applications connexes, il n’en demeure pas moins qu’elles ont la responsabilité de la clarté et de la fiabilité de leur discours.
Sur le second point, nous avons noté une ouverture de la représentante de l’INVS. Nous espérons qu’elle sera confirmée. En effet, à une question d’Isabelle Cari, déléguée régionale Nord – Pas-de-Calais de Priartem, le représentant de la Cire a répondu "cela dépendra de la question posée", comme si la veille sanitaire, plutôt que de contribuer à améliorer l’appréhension et la résolution des problèmes posés par une pollution environnementale diffuse et plurielle, devait se contenter de répondre aux questions explicitement posées par la société civile.
En attendant, les trois opérateurs sont toujours sur la cheminée à proximité de l’école. Le Maire se déclarant "toujours pas convaincu". Quand on est dans ce genre de situation doit-on attendre d’être "convaincu". Lui aussi attend-il un 3ème cas ?

Un conseil donc aux parents d’élèves : "Mobilisez-vous"


Mots-clés associés à cet article : Enfants :: Mobilisation
 

PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

vendredi 7 juin 2013

Radiofréquences et santé : L'OMS aux ordres de l'industrie ?

Opacité, scientifiques sous influence industrielle, réelle minime de la société  civile, perspective sanitaire perdue.... les éléments ne manquent pas pour dénoncer le groupe de projet sur les ondes électromagnétiques de l'OMS et réclamer sa destitution. Ce groupe organise un séminaire, dans les locaux de l'ANSES, le 5 juin. Le programme dévoile une domination écrasante d'orateurs fervents défenseurs de la pensée unique pro-industrielle.

Sans l'ANSES et la pratique de dialogue avec les acteurs de la société civile qu'elle a mise en place, les ONG ignoreraient encore que l'OMS a entrepris une nouvelle expertise sur les radiofréquences. Nous saluons donc l'initiative qu'a prise l'ANSES d'inviter l'ensemble des membres du comité de dialogue Radiofréquences qui le souhaitait à un séminaire qu'elle l'accueille dans ses locaux.

Il faut dire que la composition du comité de pilotage du groupe de l'OMS, le choix des intervenants chargés de parler de la santé, le choix du thème retenu ne correspondent en aucun cas aux exigences de pluralité, d'indépendance, d'avancées des connaissances que les ONG attendent d'une agence dont l'autorité dans le domaine de la santé se situe au sein du système des Nations Unies.

 Le comité de pilotage tout d'abord, mis en place sous l'égide d'Emilie Van Deventer, composé de 6 membres seulement, il est le triste reflet de la dépendance de l'OMS vis-à-vis de l'ICNIRP puisque 4 sur 6 de ses membres ont des liens avec cette organisation opaque qui n'a eu de cesse de défendre les intérêts des opérateurs. Leurs travaux ont été, pour la plupart, de façon répétée, financés ou co-financés par les opérateurs. La pluralité des positions, nécessaire sur un sujet où règne une forte controverse n'est donc absolument pas assurée ;

Le séminaire ensuite s'intitule "Séminaire international d'échanges entre les parties prenantes sur les radiofréquences" mais il n'est pas prévu que les "parties prenantes" interviennent au cours de ce séminaire. Au mieux leur a-t-on laissé espérer une prise de parole globale minutée. Drôle de façon de concevoir un "échange" ;
Un des thèmes principaux est celui de la "perception du risque" avec ce que cette approche sous-entend de "peurs irrationnelles" au moment où le problème essentiel en termes de santé publique est celui de la diffusion massive et de plus en plus précoce des "objets" électromagnétiques, de ses conséquences sur nos organismes et donc des moyens à mettre en oeuvre pour les réduire. 

A tout ceci il convient d'ajouter que les médias ne sont pas conviés lorsque l'OMS invite les acteurs internationaux à un séminaire sur l'électropollution. The EMF Project, EMFP (le projet sur les ondes électromagnétiques de l'OMS), pendant longtemps financé par l'industrie de télécommunications, préfère la discrétion. Les associations, elles, dénoncent ces pratiques douteuses et lourdes en conséquences pour la santé publique. Elles en appellent à l'OMS pour plus transparence et d'indépendance.
IEMFA (the International EMF Alliance), Priartem, le Collectif des Electrosensibles de France, la Fondation Suédoise de Protection contre les Rayonnements, Flokets Stralevern et the Radiation Research Trustvous invitent à un point-presse organisé le 5 juin à 15 heures 30 devant les locaux de l'ANSES.

PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

jeudi 6 juin 2013

Ondes électromagnétiques : ALERTE « ORANGE » sur le WIFI communautaire

Par un courriel reçu fin Mai, l’opérateur ORANGE a informé ses abonnés Internet de la prochaine mise en place (au cours du mois de Juin) du WIFI « communautaire » - qu’ORANGE appelle « partagé » -   à partir des « box » de ses clients.
Toutes les « box » : celles déjà en place comme les nouvelles prochainement distribuées.

Qu’est ce que ça veut dire ?
Qu’en plus du WIFI « maison », s’il est activé, ces boîtes émettront un signal destiné à une zone beaucoup plus large, sur lequel tous les abonnés oranges pourront se connecter.
Aux frais et risques de l’abonné, sa « box »  devient donc la borne WIFI du quartier  !!

Cela fait une « couche » de rayonnement supplémentaire, et pas des moindres - le signal est conçu pour une longue portée -, alors même que de nombreuses études, et tout récemment celle réalisée par de jeunes danoises et qui a reçu une récompense, montrent les effets délétères de cette technologie sur le vivant (cancer, maladies neuro-dégénérative, troubles du développement, infertilité) et que l’OMS l’a classée en Mai 2011, ainsi que les autres technologies sans fil, comme « cancérogènes possibles ».
Tant pis pour les personnes fragiles, les bébés, les électrosensibles.
Il est possible que ce signal émette même si le WIFI « maison » est désactivé - ce qui est fort recommandé par ailleurs.
Car cette modification interviendra à distance, et quel que soit le modèle de boîte (ancienne ou toute récente).

Par rapport à ses concurrents, ORANGE a au moins l’honnêteté d’informer ses clients à ce sujet et fait savoir qu’il leur indiquera, au moment de l’activation, les moyens de désactiver ce WIFI supplémentaire. Les autres opérateurs entretiennent le flou à ce sujet : combien d’abonnés ont connaissance du WIFI communautaire  ?

Protégez votre santé, celle de vos voisins, économisez votre électricité : que vous utilisiez le WIFI à domicile, ou non, DESACTIVEZ LE WIFI PARTAGE  !!

Envoyez ce message à tous vos amis et connaissances qui sont abonnés chez ORANGE (adresses en orange.fr  ou  wanadoo.fr) pour que l’action ait un vrai impact.

Un groupe de 5 jeunes lycéennes Danoises de l'école de Hjallerup ont mené une expérience sur des graines de cresson. Ces étudiantes avaient pour objectif de déterminer si oui ou non, les ondes WIFI influençaient le développement de certains végétaux. Les résultats sont effarants.

Pendant 12 jours, les étudiantes Danoises ont étudié deux semences de cresson. La première exposée aux ondes WIFI, la deuxième isolée de toute radiation. Résultat : les graines exposées n'ont presque pas germé et quelques-unes ont même muté, alors que celles situées dans la chambre sans radiation ce sont développées sans problème (comme le montrent les deux photos ci-dessous).


Au final, les �tudiantes ont re�u le prix du concours � Jeunes Chercheurs �. Fort des conclusions tir�es de leur exp�rience, elles ont d�cid� de poser leurs t�l�phones � l'ext�rieur de leurs chambres et d'�teindre leurs ordinateurs syst�matiquement avant de se coucher.

Pendant ce temps-l�, un peu partout dans le monde le WIFI se d�mocratise en devenant de plus en plus commun, puissant et rapide. Derni�rement, le Cor�en Samsung vient de battre un record de vitesse pour un r�seau WIFI en obtenant une liaison avec un d�bit de 40 GO/s. Une telle vitesse �quivaut � une bande passante capable de transf�rer 10 films HD en une seconde. De tels d�bits pourraient arriver dans quelques ann�es avec la norme 5G.
Contact Presse :
Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


***********************************************************************************************************


Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


*

Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai