Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

jeudi 29 mars 2012

Les enfants trinquent ! Que font les pouvoirs publiques ?



Le maire de Rexpoëde répond à Priartem devant les caméras

28 mars 2012 - Par Priartem - Thème : Les antennes contestées


Il aura fallu plus d’un an pour que l’Agence Régionale de Santé du Nord - Pas-de-Calais réponde à notre demande d’enquête sanitaire sur l’école Victor Hugo à Rexpoëde. Un an pour nous répondre qu’"« il n’est pas possible d’aller plus loin dans le cadre d’une étude locale" ».

Pour Priartem, ce dossier est loin d’être clos et nous ne pouvons nous contenter d’une telle réponse dans une situation où perdurent des interrogations car des enfants continuent à fréquenter l’école, et des personnes continuent à résider à proximité des installations.

Aussi, nous avons profité de la venue de Jean Heches, qui a eu le souhait de terminer le documentaire qu’il tourne depuis quelques mois sur le cas de Rexpoëde, pour organiser une rencontre entre Janine Le Calvez, présidente de Priartem et le maire de Rexpoëde, monsieur Brongniart.

Lors de cette entrevue, nous lui avons demandé dans quelle mesure il pouvait répondre aux inquiétudes des riverains et envisager d’éloigner les installations afin qu’elles n’impactent plus l’école.

La réponse en image dans le documentaire "La Controverse" de Jean HECHES et Nancy DE MERITENS. Sortie le 19 mai à Colmar suivi d’une tournée en France en lien avec les correspondants de Priartem.

Isabelle CARI - P.R.I.A.R.Té.M., Déléguée Régionale Nord - Pas-de-Calais Tel. 09.64.49.67.17 - P 06.18.88.37.47 - nordpasdecalais@priartem.fr

Journal des flandres 26/03/2012
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samedi 24 mars 2012

Marine Richard - "Sous l'ondée"


A l’attention des personnes électro-hypersensibles 

ÉTUDE DE CAS

A l’attention des personnes électro-hypersensibles

LA PETITE HISTOIRE



J’ai toujours été particulièrement sensible aux produits chimiques et à l’électricité. Plusieurs électrocutions accidentelles mineures quand j’étais enfant. Grande facilité à “prendre le jus” sur tout appareil non relié à la terre. La télévision m’a toujours fait mal à la tête (quand j’étais petite, j’entendais un “bruit” aigu quand je passais devant une maison à la télévision en fonctionnement ; je jouais à deviner à l’avance si elle était allumée ou non). Dès que j’ai eu un téléphone portable, j’ai constaté qu’il me “chauffait” le côté de la tête sur lequel il était pressé. À partir des années 2000, sans savoir pourquoi, j’ai commencé à passer beaucoup de temps dans les forêts. Je m’y sentais mieux qu’ailleurs sans en comprendre la réelle raison.

Déclenchement de l’électro-hypersensibilité durant l’hiver 2007-2008, suite à l’installation du wifi et d’un téléphone fixe sans fil (DECT) dans mon appartement. Premiers symptômes : état confusionnel et tachycardie. J’ai incriminé le wifi, que j’ai désactivé, mais n’ai pas éteint le  DECT. J’ai commencé à utiliser le portable avec une oreillette. Certains symptômes, que je n’associais à rien à l’époque, se sont installés : difficultés de concentration, fatigue chronique, nausées, vertiges, moments d’abattement, poussées de fièvre inexpliquées, troubles digestifs, chutes de tension.

 À l’été 2008, j’ai déménagé pour un appartement sans wifi ni DECT et j’ai arrêté de fumer. Je continuais à téléphoner avec l’oreillette et à éteindre mon portable la nuit. Période de stabilité sur le plan de la santé.

Eté 2009, je déménage dans un appartement bordé sur deux côtés par le câble électrique de desserte urbaine. Un lampadaire et son transformateur sont également fixés sur la façade à moins de trois mètres du lit. J’ai eu beau tourner le lit dans tous les sens, je “sentais” quelque chose que je n’arrivais pas à définir, comme des fourmillements partout dans le corps, une sorte de  courant électrique de faible intensité. Quand c’était possible, je dormais sur la terrasse, loin du câble électrique et je me sentais mieux, mon sommeil redevenait réparateur. À cette période, j’ai commencé à “sentir” les “smart”-phones à quelques mètres quand ils étaient allumés. Mais il s’agissait d’une sensation diffuse, une perte d’énergie générale, de l’ordre de l’intuition. Longue période apathique, beaucoup de nausées, vertiges, épuisement. Je découvre alors que mes symptômes sont ceux d’une intoxication chronique aux métaux lourds, sans faire le lien 118 119 avec l’électricité ni les ondes. Un médecin expérimenté me prescrit des analyses d’urine avec test de provocation qui confirment cette intoxication ainsi qu’une importante carence en vitamine B12 et D notamment. Sur ses conseils, j’arrête de manger gluten et caséine (principalement blé et produits laitiers) et commence à me supplémenter en vitamines et minéraux. Durant quelques semaines, je me découvre une énergie insoupçonnée. Pour la première fois de ma vie, je vais bien. Mais je tombe soudain gravement malade (infection dont on ne parvient pas à trouver la cause). Je finis par quitter l’appartement pour revenir dans le précédent. Il me faut plusieurs mois pour guérir. J’entreprends de faire déposer mes amalgames dentaires et de me faire désintoxiquer des métaux lourds par des moyens médicamenteux. 
Durant l’hiver 2009-2010, le mieux-être est évident. Pourtant, ma sensibilité aux champs électromagnétiques progresse. Je suis au bord du malaise si je stationne à moins de trois mètres d’une box en wifi, l’utilisation d’un DECT me provoque des douleurs intracrâniennes et le portable, même avec une oreillette, me “chauffe” la tête. Si je le tiens à la main en fonctionnement, cela me picote les doigts. Certaines zones de mon appartement génèrent des fourmillements dans les membres. Qu’y a-t-il chez les voisins ?

À l’été 2010, je passe plusieurs semaines dans une maison où le seul moyen de connecter mon ordinateur à Internet est le wifi. Les effets sont alors très nets. Douleurs dans le crâne, confusion mentale, picotements sur la peau et fatigue très importante à chaque fois que je me connecte. Au cours de ce même été, je prédis mon premier texto : je comprends alors que certains maux de tête sont provoqués par l’envoi et la réception d’informations par les téléphones portables et que cet envoi se fait dix à quinze secondes avant que le portable ne sonne. À partir de ce moment-là, je ne peux absolument pas douter de l’origine de mes troubles. À l’automne 2010, des travaux sont entrepris dans ma copropriété. Un échafaudage métallique non relié à la terre est installé sur les deux faces de mon immeuble. De surcroît, une nouvelle antenne-relais est installée près de chez moi (la 13e  à moins de 200 mètres, à la même hauteur que l’appartement !).

Déclenchement du  syndrome d’intolérance  aux  champs  électromagnétiques (SICEM) : décembre 2011. Je commence à ne plus supporter de rester en présence de téléphones portables allumés. Je ressens des douleurs intracrâniennes très violentes avant qu’ils ne sonnent ou ne reçoivent des messages ou lorsque l’utilisateur se connecte à Internet. Ce jusqu’à cinq à dix mètres. On me prête une maison dans un village pour les vacances de Noël. Je pense m’y ressourcer. Malheureusement, la première nuit est un cauchemar, des maux de tête très violents m’empêchent de dormir. Le lendemain, des éruptions cutanées comme des brûlures apparaissent sur ma gorge. Ma peau est frippée, comme vieillie d’un coup, et je suis dans un état de confusion extrême. Je m’entête malgré tout. Je passe la journée à somnoler. J’en garde peu de souvenirs. La nuit suivante est pire que la première. En allant me promener, je découvre qu’en m’éloignant du village, à l’abri d’un rocher, mes douleurs s’arrêtent. La pensée désorganisée, émotionnellement très perturbée,  je décide de rentrer chez moi. De retour dans mon appartement, dès la première nuit, les douleurs dans le crâne  sont  insupportables.  Le  lendemain,  je  pars  en  emmenant  le  strict  minimum. Je ne reviendrai jamais car ma santé ne s’améliorant pas, je dois  mettre le logement en vente pour financer ma survie. 

À l’été 2011, un echodoppler cérébral pulsé indique que l’oxygénation de mon cerveau est très mauvaise, en particulier celle du thalamus (35% de la normale). Par ailleurs, mon  taux d’histamine est de deux  fois  la norme maximum et  certains  anticorps  sont  actifs  sans  autre  raison  plausible  que  les  champs  électromagnétiques. Quels auraient été les résultats des analyses si je n’avais pas trouvé de refuge à peu près à l’abri des ondes les cinq mois qui ont  précédé les examens ?

Après  un  an  d’errance  dans  des  lieux  relativement  préservés  des  champs  électromagnétiques, je vais beaucoup mieux. Les malaises sont rares et j’en identifie presque toujours la cause. Les douleurs ne se produisent que lorsque je fais des incursions à la “ville”.
   
RECETTES DE BONNE ET MAUVAISE FAME

 • DEPUIS FIN 2009 en raison des chélations de métaux lourds
Vitamine D3, vitamine E naturelle, complexe groupe Vitamine B en assez importante quantité (particulièrement B12), vitamine C au moins 2 g par jour, Sélénium, Zinc – pas aux mêmes heures que le sélénium (antagonistes), omégas 3 et 6 DHA, magnésium élément marin,  taurine 1000mg, n-acetyl-cystéine 1000mg. •

AJOUTS À PARTIR DE Janvier 2011
Ginko biloba bio (décoction ou poudre), enzymes fermentées en cascade, char120 121 bon suractivé, tisane hépato-biliaire, lithium élément, potassium élément. •

À PARTIR DE JUILLET-AOÛT 2011
Dexchlorphéniramine – anti-histaminique/capteur H1 – 4 mg (arrêt après quatre mois en raison d’effets secondaires marqués mais efficace sur certains symptômes), extrait de papaye fermentée, jus de grenade fermenté, omégas 3 et 6 (métaux lourds filtrés), vitamine B1 et B2 d’origine naturelle, desmodium en alternance avec chardon-marie.
Février 2012 Avec l’aide d’une toxicologue, mise en place d’un programme de nutrithérapie basé sur des analyses qui mettent en évidence de manière précise allergies alimentaires, carences en vitamine et minéraux, dysfonctionnements enzymatiques. (À suivre...)

Mon  état  général  s’est  nettement  amélioré,  ma  tolérance  à  la  téléphonie  mobile est meilleure mais je suis sensible à de nouvelles fréquences (les lampes basse-consommation,  certains  transformateurs  à  découpage,  le  courant  électrique domestique). Autres facteurs d’amélioration évidents : l’intensification de ma pratique du yoga (techniques de respiration et méditation), mise à la terre de ma tête (oui, oui !!!!) par contact direct de mon front avec la terre à la campagne, et en toutes circonstances possibles grâce à une posture de yoga debout sur la tête (très efficace)*, au besoin sommeil dans une cage de Faraday* que j’ai fabriquée avec du tissu blindé -50 db, morathérapie, ostéopathie, chapeau blindé, tissus blindés.

Dans mon expérience, la seule méthode parfaitement efficace pour l’instant est l’éviction des sources de pollution électromagnétique. J’ai dû pour cela déserter mon lieu d’habitation trop pollué (15 réseaux wifi, 13 antennes-relais à moins de 200 mètres dont une que je sentais précisément) et me réfugier dans des lieux à peu près protégés. Attention ce qui suit ne constitue pas une prescription, loin s’en faut. Il s’agit d’un témoignage. Peut-être d’autres personnes se reconnaîtront-elles dans mon tableau clinique et pourront envisager des éléments auxquels elles n’avaient pas pensé et discuter de leur opportunité avec leur médecin. Lire la Suite en pdf




mardi 20 mars 2012

Priartem - Collectif du Général Aubagne


Aubagne : le collectif du Général demande aux élus de s’engager vers un "compromis responsable"
19 mars 2012 - par PRIARTéM

Après s’être mis en relation avec d’autres associations de locataires de la ville, le Collectif des Locataires de la Cité du Général a pris l’initiative d’adresser un courrier à Madame Magali Giovannangeli, Présidente de la Communauté d’Agglomération du Pays d’Aubagne et de l’Etoile, courrier relatif à leur combat dans la recherche de la construction d’un compromis responsable entre l’évolution de la société, des technologies, et le souci permanent de sauvegarde de la santé publique des citoyens sur leur territoire.
Dans ce courrier, le Collectif demande la mise en place d’une "Charte Intercommunale" visant à conforter les différents points de vue, de réfléchir sur la pertinence des implantations des antennes relais (leur nombre, leur concentration, leur emplacement, leur puissance d’émission et de réception….), de prévenir et d’informer en toute transparence les riverains, de travailler intelligemment sur les normes d’exposition et leur impact réel sur la santé publique.
À ce jour, 17 antennes sont toujours en place sur le toit de la Cité du Général à Aubagne.
Contact : André Danchési, porte-parole du CLCG
http://collectifgeneral.blogspot.com/
collectif.general@hotmail.fr
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Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai