Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

lundi 17 décembre 2012

Une loi pour réguler les ondes WiFi et de téléphonie mobile

Les députés Europe Ecologie-Les Verts (EELV) ont déposé la semaine dernière sur le bureau de l'Assemblée Nationale une proposition de loi qui sera discutée en séance le 31 janvier 2013, portant sur l'application du principe de précaution pour les ondes électromagnétiques. Les élus partent du principe que les ondes du WiFi ou de la téléphonie mobile posent questions sur d'éventuels risques sanitaires, et qu'à défaut d'en interdire l'usage, il faut en restreindre l'impact.
Article de : numerama.com

jeudi 13 décembre 2012

PRIARTéM : Antennes relais - Cité du Général à Aubagne : situation figée


La Cité du Général à Aubagne : situation figée...

13 décembre 2012 - par Collectif - Thème : Les antennes contestées

Avant l’été, nous avions laissé le Collectif des Locataires de la Cité du Général à Aubagne dans un contexte très prometteur. En effet, reçus en mairie en mars dernier, par deux responsables mandatés par le Maire d’Aubagne, Daniel Fontaine, on leur avait parlé de la mise en place, au niveau de l’agglomération, d’une commission de concertation et d’évaluation des risques (voir article de la Marseillaise du 6 juin 2012).

A l’issue de cette réunion, la municipalité d’Aubagne s’était engagée à mettre en place une campagne de mesures. Enfin, la municipalité s’était engagée à mettre à disposition du collectif un stand lors du forum santé qui devait se tenir à la prochaine rentrée (voir article Aubagne au Jour le Jour n°729 du 6 avril 2012). Bref, des engagements précis avaient été pris lors de cette réunion.

Finalement, Le Collectif n’a pas été associé à la construction du forum et qu’en-est-il pour les autres engagements ?

Après un courrier du Collectif envoyé le 24/10/2012 à Mr le Maire, Daniel Fontaine, déplorant le plus grand mutisme de la part des deux responsables que sont Ms Michel Chatzopoulos du Cabinet du Maire d’Aubagne et Jean-Jacques Pascal, Ingénieur pôle infrastructure, réseaux de communication, image et son, courants forts et faibles, le Collectif obtient un rendez vous en Mairie le 02 novembre 2012 !

Compte rendu de la réunion

- Pas de campagne de mesures sur l’immeuble le Général
- Pas de commission intercommunale d’évaluation des risques liés aux antennes-relais
- Pas de plan de couverture des ondes sur l’ensemble de la commune
- Pas de charte municipale pour la sécurité des zones d’habitations HLM et d’écoles à moins de 100 m :

Bref, une fin de non recevoir !

Pas non plus de Charte de la Ville d’Aubagne et de l’Agglomération du Pays de l’étoile pour la régulation des antennes relais. D’après les Responsables de la Mairie une charte ne pourrait servir qu’en cas de nouvelles poses d’antennes relais. Pour le cas de l’immeuble le Général il serait trop tard.

Pendant ce temps, 17 antennes sont encore en place sur le toit de la Cité du Général à Aubagne.

Contact : André Pariollaud, CLCG

collectif.general@hotmail.fr
Mots-clés associés à cet article : Mobilisation
 
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lundi 10 décembre 2012

Téléphone cellulaire : catastrophe sanitaire à l' horizon ?

Le 12 octobre 2012, la Cour de cassation italienne a reconnu que l’utilisation intensive du téléphone portable avait favorisé le développement d’une tumeur bénigne au cerveau chez Innocente Marcolini, un cadre d'entreprise italien, qui a été déclaré invalide à 80 %. Réaction de Michèle Rivasi, eurodéputée EELV.

vidéo résumant la conférence de presse sur les enjeux sanitaires liés à la téléphonie mobile


Tumeur et GSM par EurodeputesEE

jeudi 6 décembre 2012

Antennes Relais - Charte de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays d'Aubagne et de l'étoile

Charte de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays d'Aubagne et de l'étoile  pour la régulation des antennes relais.


Récapitulatif



Proposition de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays de l'étoile à la date du 26 Septembre 2012 : Aucune !!!!!!!!

8 mois d'attente et, pas le moindre contact pour élaborer la charte demandée par le Collectif du Général !!!!!!!

, nous obtenons enfin un rendez vous en Mairie le 2/11/2012 !

Les discussions sur les antennes relais (charte, mesures d'ondes électromagnétiques) vont reprendre, du moins nous l'espérons.

Compte rendu de la réunion du 2/11/2012 en Mairie :

Les Responsables nous ont émis une fin de non recevoir !

- "Pas de campagne de mesures"

- "Pas de commission intercommunale"

- "Pas de plan de couverture des ondes sur l'ensemble de la commune"

- "Pas de charte municipale pour la sécurité des zones d'habitations HLM et d'écoles à moins de 100 m"

D'après les Responsables de la Mairie une charte ne pourrait servir qu'en cas de nouvelles poses d'antennes relais.

Pour le cas de l'immeuble le Général, de l'école maternelle situé à moins de 35 mètres et de la maison de retraite situé elle aussi à moins de 15 mètres, il serait trop tard.....

A voir : Immeuble le Général à Aubagne, la liste des décès et pathologies s'allonge !

A suivre.......

samedi 1 décembre 2012

France Info - Les études médicales confirment la dangerosité des antennes-relais - Dossier du jour - 2011/2012 - Société - France Info


L’Association Santé Environnement France, qui réunit plus de 2.500 médecins, a mené une enquête pour évaluer l’impact des antennes-relais sur la santé des riverains. L’association à publié les résultats. Le doute n'est plus permis.

Les études médicales confirment la dangerosité des antennes-relais - Dossier du jour - 2011/2012 - Société - France Info

jeudi 29 novembre 2012

Antennes relais - Ondes performantes - Ondes perforantes


Un document de : 

Coordination -Citoyenne-Antennes- Relais- Rhône Alpes
Grande Rue de la Croix Rousse 69004 Lyon
Tous courriers à BP. 4466 69241 LYON Cedex 04 

mercredi 21 novembre 2012

Antennes relais - ondes électromagnétiques - Les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne dans la tourmente, décès, pathologies, la liste s'allonge !

Accueil

dimanche 18 novembre 2012

Pétition projet de loi encadrant l'implantation des antennes relais sur les toits d'immeubles HLM, crèches, écoles, commissariats, hôpitaux....

2500 signatures ! 

La pétition portée, en autres par EELV, qui accompagne la lettre ouverte de Patrice Halimi  adressée aux sénateurs et députés, pour réclamer l'adoption d'une loi réglementant l'implantation des antennes relais, cartonne ! 
Sénateurs, députés, députés européens, conseillers régionaux, conseillers généraux, conseillers municipaux... associations, militants, citoyens anonymes ... toute la gauche s'est  mobilisée pour porter et  accompagner la proposition de loi.
Continuons la mobilisation ... nous vous invitons à faire comme à Aix... nous allons sur les marchés pour les signatures muni d'un tract recto verso (joint) .
Merci de me scanner les feuilles de signatures et de me les envoyer sur ce mail ce qui nous permettra de les enregistrer.    
Amicalement
Geneviève Hamy
06 08 52 06 49
 lien de la pétition .....            www.asef-asso.fr
   
La semaine dernière le Dr Patrice Halimi, porte-parole de l’Association Santé Environnement France, écrivait à tous les sénateurs et députés pour réclamer l’adoption d’une loi réglementant l’implantation des antennes relais. Sa lettre ouverte a depuis été soutenue par près de 1 500 personnes, dont un sénateur et un député, ainsi que par les principales associations travaillant sur le sujet : « Robin des Toits », « Priartem » et le « Criirem ».  Aujourd’hui réunies, les quatre associations s’adressent de nouveau à nos représentants pour leur demander de prendre des engagements.

La nécessité d’une loi.  Aujourd’hui, les antennes relais s’amoncèlent en haut des toits des logements sociaux – certains immeubles en comptant jusqu’à 17!  C’est l’anarchie qui règne, les opérateurs sont libres. Un arrêt daté du 7 avril 2005 leur a tout de même un peu compliqué la tâche pour s’implanter dans les copropriétés privées en déclarant qu’une antenne relais ne pouvait être installée que si les propriétaires d’un immeuble l’acceptaient à l’unanimité. Dans les faits, les propriétaires doivent se battre pour faire respecter cet arrêt.... Cependant absolument rien ne protège les locataires, ce qui explique pourquoi les HLM voient fleurir sur leurs toits des forêts d’antennes relais...Aucune loi non plus pour protéger certaines zones «sensibles» comme c’est le cas des écoles, des crèches ou encore des hôpitaux.... Les opérateurs sont libres... « Nous avons souvent souligné la vulnérabilité toute particulière des locataires, le simple droit à l’information prévu dans la loi SRU ne leur étant souvent même pas appliqué. Il nous semble également urgent de protéger les enfants, population reconnue par tous comme plus fragile » affirme Janine Le Calvez, Présidente de l’association Priartem. Un avis partagé par le Criirem dont la Vice-Présidente, Michèle Rivasi, a soutenu la lettre ouverte dès le premier instant.

Optez pour la prévention. Aujourd’hui, il y’a bien une controverse scientifique sur le sujet. Les études se contredisent: certaines ne relèvent aucun effet, tandis que d’autres les mettent en cause dans différentes pathologies: des maux de tête aux cancers. « Il ne s’agit pas pour nous de trancher la question scientifique, ni d’interdire les antennes relais. Cependant, si elles présentent un risque, il faut qu’il y ait une véritable égalité face à celui-ci. La loi est la seule à pouvoir garantir cette égalité. Nous avons aujourd’hui le soutien d’un sénateur EELV, Jean-Vincent Placé, et d’un député PS, Jean-David Ciot, nous espérons que demain, ils seront rejoints par un grand nombre de leurs pairs pour travailler ensemble sur cette question de santé publique qui n’est ni de droite, ni de gauche » explique le  Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF. 

Six principes fondamentaux. Les quatre associations soutiennent six principes fondamentaux à respecter pour parvenir à cette égalité : le principe de transparence visant à garantir une information claire ; le principe de la réduction des émissions visant à rendre les antennes les moins nocives possibles ; le principe de légitimité visant à permettre au maire de réguler au mieux le positionnement des antennes sur sa commune ; le principe de dissociation visant à dissocier l’installation et l’exploitation des antennes entre le public et le privé ; le principe de zones protégées visant à interdire les antennes sur les écoles par exemple et enfin le principe de gouvernance participative. «Une réglementation réelle incluant le respect de la santé publique, c'est possible » déclare Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits et auteur de l’ouvrage ‘Et si la téléphonie mobile devenait un scandale sanitaire’ paru aux éditions du Rocher en 2008. 

 Chaque citoyen peut apporter son soutien à ces propositions en signant la pétition qui se trouve en bas de la lettre ouverte sur le site www.asef-asso.fr

Nous vous invitons également à signer ici : http://www.avaaz.org/fr/petition/Interdire_toute_installation_dantennes_relai_et_wifi_sur_les_immeubles_de_logements_sociaux//?tta

samedi 17 novembre 2012

Ondes électromagnétiques - les locataires HLM "totalement captifs"



 "Les Robin des toits réclament une étude sur l'impact des ondes dans les HLM" - Courrier des Maires - Novembre 2012




"Les Robin des toits réclament une étude sur l'impact des ondes dans les HLM" - Courrier des Maires - Novembre 2012
L'ONG Robin des toits, inquiète des effets des ondes électro-magnétiques dans des logements devenus des "fours à micro-ondes", appelle la ministre du Logement Cécile Duflot à lancer une étude sur leur impact sanitaire dans les HLM où les locataires seraient, selon l'ONG, "totalement captifs".


"Les sources de pollution extérieure s'intensifient avec la multiplication des antennes-relais et la 4G qui se prépare, n'augurant rien de bon, sinon une nouvelle catastrophe sanitaire, sans équivalent", écrit l'ONG, dans une lettre ouverte à Cécile Duflot, datée du 22 octobre 2012.
De plus, avance l'ONG, nos domiciles sont de plus en plus envahis par "l'électrosmog" intérieur du fait des téléphones sans fil, lappareils bluetooth, smartphones, consoles de jeux, fours à micro-ondes...
"Les logements sont devenus de véritables fours à micro-ondes", assure-t-elle.


Logement social : des locataires "captifs"
Robin des toits souligne la situation précaire des locataires de logements sociaux, "totalement captifs", selon elle.
Ceux-ci n'auraient quasiment aucun recours possible auprès des bailleurs sociaux, "qui perçoivent de très juteuses recettes émanant des opérateurs de la téléphonie mobile en contrepartie d'une autorisation d'installation de leurs antennes-relais polluantes sur les immeubles d'habitation", écrit l'ONG.


Un état des lieux et une loi
Aussi, Robin des toits appelle Cécile Duflot à lancer, en lien avec le ministère de la Santé, une étude nationale de l'impact sanitaire des champs électro-magnétiques sur le parc du logement social.

Début octobre, l'Association Santé environnement France (ASEF), qui dit regrouper 2.500 médecins, a réclamé une loi sur l'implantation des antennes-relais, estimant que la réglementation en règle "ne concède aucun droit aux locataires et explique pourquoi les HLM voient fleurir sur leurs toits des forêts d'antennes relais".


--- 
Source : http://www.courrierdesmaires.fr/P_detail_france.php?id=35732

mercredi 14 novembre 2012

Ondes électromagnétiques - Electro hypersensibilité - Lettre ouverte à Mme la Ministre des Affaires Sociales et de la santé - Marisol Touraine

Communiqué de presse
Paris, Le 14 novembre 2012

Lettre ouverte à la Ministre des Affaires sociales et de la Santé - Marisol Touraine, pour une prise en charge globale de l’électrohypersensibilité

Pour la première fois, un collectif de personnes victimes d'électrohypersensibilité (EHS) – le collectif des électrosensibles de France – soutenu par trois associations nationales – Priartem, Agir pour l’environnement et Le Lien – propose une plateforme de prise en charge globale de cette maladie environnementale émergente.

L'absence d'actions des pouvoirs publics conduit aujourd'hui à des ruptures sociale et professionnelle, et à des situations confinant à la maltraitance voire à la mise en danger. L'exemple le plus frappant en est l'impossibilité pour une personne victime d'électrohypersensibilité, d'accéder aux soins hospitaliers eu égard au déploiement de technologies sans fil dans les centres de soins.

Trop souvent la question de l’EHS est limitée à la question des zones blanches ou renvoyée à l’unique étude de prise en charge de l'hôpital Cochin, disqualifiée scientifiquement et déontologiquement dès son lancement.

Si la création de zones-refuge est une nécessité absolue pour la prise en charge immédiate des cas les plus lourds, elle ne peut être considérée comme la seule action à mettre en place. La plate-forme revendicative transmise à la Ministre traite la question dans toutes ses dimensions, qu'elles soient temporelles (situations d’urgence, actions à court terme ou plus long terme), scientifiques (nécessité de connaissance pour prévenir et guérir) ou encore sociétales (nécessité d'une reconnaissance des personnes atteintes et gestion de leurs situations dans une perspective de garantie des droits des personnes).

Cette plate-forme complète les exigences générales que portent les associations signataires pour la protection de la santé publique : réduction des expositions, application du principe ALARA, réglementation des sources proches… nécessaires aussi bien pour la protection de la population que pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes hypersensibles au quotidien.

Le nombre croissant de personnes devenant hypersensibles à cette pollution peut être considéré comme constituant une « population sentinelle » au sein de laquelle on compte de plus en plus de jeunes, qui nous envoie « in vivo » un signal fort des désordres sanitaires à attendre si aucune mesure n’est prise.

Le collectif et les associations qui le soutiennent demandent donc l’organisation d’un débat public afin de tirer toutes les conséquences pour la société des impacts de l’exposition à une pollution électromagnétique généralisée et de plus en plus composite et de prendre les mesures administratives et législatives urgentes qui s'imposent.

Courrier envoyé à Madame la Ministre :
www.electrosensible.org/documents/presse/Lettre_ouverte_Ministre_sante_112012_pour_sites.pdf
Dossier de presse & Pièces jointes au courrier :
www.electrosensible.org/documents/presse/communique_141112


Plates-formes Revendicatives

Contacts presse :                                                                             Plus d'informations :
Priartem : 01 42 47 81 54                                                               www.priartem.fr/
Le Collectif : presse@electrosensible.org              www.electrosensible.org
Le Lien : madeleine_madore@yahoo.fr                                    http://lelien-association.fr
Agir pour l'Environnement                                                                 www.agirpourlenvironnement.org

samedi 10 novembre 2012

Antennes relais - Les policiers 15 malades sur 1OO personnes !!!!!


Les policiers en ont "par-dessus la tête des antennes-relais"

Le 4/10/2012 à 11h24 par Laure Moysset | JOURNAL L'INDÉPENDANT 



Dans la lignée des associations, des divers collectifs et des particuliers, ce sont les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) de Perpignan relayés par Unité SGP-FO police, qui reprennent le flambeau de la lutte contre ces antennes-relais « suspendues au-dessus de leur tête ». Huit émetteurs hérissent actuellement le toit du bâtiment abritant la PAF mais aussi à proximité immédiate des services d’information générale, du renseignement intérieur et de la police judiciaire, au numéro 19 de la route de Prades. Et hérissent aussi le poil des policiers. « C’est une violation délibérée du principe de précaution, pour les collègues, le voisinage et surtout les enfants de l’école Condorcet située à 100 mètres. C’est inacceptable », dénonce Marc Bianchini, secrétaire-départemental adjoint du syndicat.
« 15 malades pour 100 personnels »
Le sujet a été abordé en mars, lors d’un CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et a rapidement brouillé le dialogue. Les délégués syndicaux ont réclamé que des mesures soient effectuées concernant l’exposition des personnels aux ondes électromagnétiques. Et ce, par un organisme indépendant, le CRIIREM, composé d’experts.
Le préfet a donné son accord pour ces relevés. Or, le SGAP (secrétariat général pour l’administration de la police) a mandaté deux expertises, l’une menée par la COFRAC, unique instance nationale publique d’accréditation, et une seconde par le biais de SFR qui a désigné une autre entreprise. « En fait, on a demandé à SFR de choisir la société pour s’auto-contrôler ! Utilise-t-on ces méthodes pour contrôler les routiers, les restaurateurs, les agriculteurs ou les déclarations d’impôts ? Et puis pourquoi ne pas utiliser des moyens moins dangereux comme la fibre optique ? Sur 100 personnels de la PAF, une quinzaine est atteinte de pathologies qui peuvent être dues à une exposition trop importante à ces ondes électromagnétiques. Cancers, problèmes d’oreille interne, d’irrigation du cerveau...».
«Appliquer le principe de précaution »
En 2011, le conseil de l’Europe avait préconisé l’application du principe de précaution et avait ramené la limite d’exposition à 0,6 volt/mètre qui devrait être abaissée à 0, 2 volt/mètre dans le futur. Sachant que la même année, l’OMS (organisation mondiale de la santé) et le centre international de la recherche contre le cancer ont classé les radiofréquences en catégorie 2B, autrement dit potentiellement cancérigène.
« Or, on est largement au-dessus de cette limite. A Nancy, les représentants du personnel SGP-FO police ont obtenu du CHSCT l’annulation d’un projet d’implantation d’antennes-relais sur les toits du commissariat central. Pourquoi pas faire de même à Perpignan ? Surtout que Free a fait une demande pour implanter trois antennes de plus sur notre toit (lire ci-contre) ? Pourquoi des enfants, et des policiers, feraient-ils les frais de spéculations financières ? Parce que les locaux loués par l’administration appartiennent à une société privée  ? Nous demandons à l’ensemble des élus et des représentants de l’administration que cette situation soit réellement prise en compte et que le principe constitutionnel de précaution passe avant toute autre considération ».
Laure Moysset

mardi 6 novembre 2012

Antennes relais démontées - Les Parents d'élèves de Noisiel ont eu gain de cause !


Une bonne nouvelle à Noisiel !
22 octobre 2012 - par Priartem - Thème : Les antennes contestées
L’antenne-relais SFR située au-dessus du groupe scolaire a été démontée en totalité, et déplacée sur un site de substitution proposé par la Mairie de Noisiel et le syndicat d’agglomération - comme en témoignent l’article joint et le lien vers notre blog.


Reda BELKACEM
JPG - 1.2 Mo
Le Parisien - 6/10/2012
JPG - 1.2 Mo
Le Parisien - 17/09/2011
Mots-clés associés à cet article : Mobilisation
 
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lundi 29 octobre 2012

Enquête Européenne sur les Symptômes Biologiques et Sanitaires ressentis par les Riverains d'antennes relais


Enquete Europeenne version Fr

Face à l’accroissement sans précédent de l'irradiation artificielle micro-ondes dans l’environnement, il est nécessaire et vital d’avoir de nouvelles données pour une évaluation globale de l’impact des ondes sur la santé des humains.

Ce questionnaire enquête anonyme grand public se veut simple.
Pour qu’il soit crédible et représentatif il est essentiel qu’il obtienne une large diffusion en Europe et dans le monde pour engranger le maximum de données statistiques.

Élaboré à l’origine en version papier par le Dr Roger Santini, il a été actualisé
afin d’être au plus près de la réalité du vécu des riverains d’antennes relais.
Après traitement informatique des données, les statistiques seront transmises anonymement aux scientifiques et organismes d’états afin d’analyses et publications.

Merci de votre aide pour la diffusion de cette enquête européenne.

samedi 27 octobre 2012

ALERTE - Démission de Mr John Dalli Commissaire Européen en charge de la Consommation et de la Santé pour fraude !


16 octobre 2012 - par Priartem

BRUXELLES - Le commissaire européen en charge de la Consommation et de la Santé, le Maltais John Dalli, a démissionné mardi de ses fonctions suite à sa mise en cause dans une enquête de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf), a annoncé la Commission européenne.

 La démission de M. Dalli prend effet immédiatement, a précisé un communiqué de la Commission.


(©AFP / 16 octobre 2012 17h22)

Nous – Priartem et IEMFA - avions fortement dénoncé, l’an dernier, les conditions dans lesquelles avaient été organisées, en novembre 2011, sous sa responsabilité, les rencontres européennes sur les radiofréquences.

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vendredi 26 octobre 2012

Ondes électromagnétiques - Lettre ouverte à Mme Cécile Duflot Ministre de l'Egalité des Territoires et du Logement


ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

A l'attention de Madame Cécile DUFLOT
Ministre de l'Egalité des Territoires et du Logement

Objet : Politique du logement et dangers sanitaires d'origine électromagnétique

Madame la Ministre,
 
L’association nationale Robin des Toits souhaite vous alerter sur le fait qu’en matière de logement le développement continuel des pollutions d’origines électromagnétiques entraîne des dangers et effets nocifs croissants sur la sécurité et la santé[1] des français, compte tenu de l’obsolescence et de l’inadéquation grandissantes des normes en vigueur qui ne garantissent absolument pas l’innocuité.
 
Or chaque jour qui passe, les sources de pollution extérieure s’intensifient avec la multiplication des antennes-relais et la 4G (multiplication par un facteur 50 du rayonnement) qui se prépare, n’augurant rien de bon, sinon une nouvelle catastrophe sanitaire, sans équivalent. Pourtant, dans le même temps, les preuves scientifiques s’accumulent au sujet du caractère pathogène ou létal des Champs Electro-Magnétiques (CEM) : cancers, leucémies, AVC, maladies auto-immunes ou neuro-dégénératives, dépressions, suicides, électro-hypersensibilité (EHS) et chimico-sensibilité (MCS), etc.
 
Or il semble que rien ne vienne arrêter ni même limiter cette fuite en avant technologique et électromagnétique pourtant incompatible avec la biologie de tout le vivant.
 
A cela viennent s’ajouter des « preuves circonstancielles » que constituent – notamment mais pas seulement – les milliers d’appels désespérés de personnes totalement désemparées dans leur souffrance physique, morale (à titre secondaire) et souvent aussi professionnelle, sociale et familiale que Robin des Toits reçoit à sa permanence téléphonique, avec un rythme qui peut atteindre une communication toutes les 30 secondes…
 
Il apparaît que le sentiment d’impuissance des populations est encore plus fort dans le logement social où des locataires sont totalement « captifs » et n’ont concrètement quasiment aucun recours possible vis-à-vis des bailleurs sociaux qui perçoivent de très juteuses recettes[2] émanant des opérateurs de la téléphonie mobile en contrepartie d’une autorisation d’installation de leurs antennes-relais polluantes sur les immeubles d’habitation.

La situation des locataires du logement social semble ainsi peut-être bien plus difficile encore que celle des copropriétaires du parc résidentiel  – pourtant déjà extrêmement critique - qui se réunissent en collectifs anti-antennes pour essayer de se protéger et alors que le pouvoir des maires a été considérablement affaibli depuis un arrêt du Conseil d’Etat entaché d’un fort soupçon de conflit d’intérêts[3] à la faveur des opérateurs de la téléphonie mobile.....Suite


lundi 22 octobre 2012

Ondes électromagnétiques, Victoire importante ! Jugement de la Cour de cassation d'Italie - 18/10/2012

Communiqué

TELEPHONES MOBILES ET TUMEURS DU CERVEAU:
LIEN CONFIRME PAR LA COUR DE CASSATION D’ITALIE

Le 18 Octobre 2012, la Cour Suprême de Cassation italienne a confirmé la décision de la Cour d’Appel de BRESCIA, Italie,en référence aux poursuites entamées par M. Innocente Marcolini, cadre supérieur de 60 ans souffrant d’une tumeur au cerveau contractée suite à l’utilisation intense du téléphone cellulaire (mobile et sans fil) au travail – 30 heures par semaine pendant 12 ans.
Les Juges de la Cour Suprême:

1) ont confirmé la validité des références scientifiques citées par le consultant technique de Brescia et par le Pr.Levis, oncologue à l’Université de Padoue et co-fondateur de l’Association italienne pour la prévention contre les nuisances des ondes électromagnétiques A.P.P.L.E.

2) ont expliqué une fois de plus les raisons des divergences entre les conclusions alarmantes du Groupe Hardell, groupe de scientifiques indépendants, et les études dont les conclusions excluent tout lien entre l’usage du téléphone mobile et la santé, telles l’étude Interphone, ou les études mises en avant par l’IARC,l’ICNIRP, l’OMS, les compagnies internationales et nationales de téléphonie mobile ;

3) ont reconnu une fois de plus la présence de conflits d’intérêt dans ces nombreuses études et institutions, et donc de biais créé par des financements provenant d’entreprises, afin de rejeter les résultats des études scientifiques menées dans ces contextes;
4) ont noté le principe général – applicable à toutes les pathologies et leurs causes liées aux conditions de travail – selon laquelle la "certitude raisonnable" du lien de cause à effet peut dans tous les cas être pris en considération.

Ce jugement a rencontré l’opposition des institutions officielles italiennes (Institut National de la Santé de Rome, et le Procureur Général de la République) – oppositions qui furent rejetées lors du procès.

Il établit un précédent pour d’autres cas de tumeurs contractées suite à l’exposition professionnelle, et pourrait ouvrir la voie à la reconnaissance et à l’indemnisation d’une plus large variété de pathologies aiguës résultant de l’exposition aux champs électromagnétiques.

Les technologies concernées:

Les téléphones portables, DECT, GSM, 3G, 4G, WIFI, WIMAX, BLUETOOTH, RFID, compteurs communiquants type LINKY, etc.

L’association nationale Robin des Toits salue le courage et l’indépendance des juges italiens, et celui des scientifiques indépendants de l’association A.P.P.L.E. - Ce procès montre les énormes contradictions et prises d’intérêts dans les hautes sphères du pouvoir ; il est urgent que la vérité soit dite au public afin d’enrayer l’épidémie de cancers débutante.

Conséquences :

- Les politiques à tous niveaux sont devant des faits confirmés par la Justice au plus haut rang.
Des mesures réglementaires de protection de la population, dont les termes sont connus, sont à prendre d’urgence.

- Dans les prises de position publiques, la formule « débat scientifique » est devenue obsolète.
Source : Association italienne A.P.P.L.E

www.applelettrosmog.it
Jugement no. 17438, 3-12.10.12
Robin des Toits
Association régie par la loi du 1er juillet 1901
e-mail : contact@robindestoits.org
Site : www.robindestoits.org
Membre du « Comité Opérationnel chargé de l’expérimentation sur l’abaissement de l’exposition aux champs électromagnétiques » Membre du « Rassemblement pour la Planète » dans le cadre du Grenelle des Ondes.
Contact Presse :
Etienne CENDRIER

samedi 13 octobre 2012

Lettre ouverte d'une électro-hypersensible au président de la république Française


LETTRE OUVERTE d'une EHS à François Hollande, Président de la République Française - 11/10/2012

« Urgence d'une protection des personnes hypersensibles aux champs électromagnétiques et prise en charge du Syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques »


Le 8 octobre 2012 

Monsieur le Président de la République, 
Je viens par ce courrier vous informer du fait que des milliers de vos concitoyens sont en danger de mort – je pèse mes mots –, et vous implorer de leur venir en aide. 

M'étant adressée en mon nom propre et en tant que responsable associative à toutes les autorités compétentes sans résultat (Ministère de la Santé, Direction Générale de la Santé, Préfectures, Députés, Sénateurs, Députés Européens, Conseils Régionaux, Conseils Généraux, Municipalités...) je ne vois plus d'autre recours que d'en appeler directement à vous. 

Monsieur le Président, des milliers de personnes en France sont porteuses d'une hypersensibilité électromagnétique (aussi appelée électrohypersensibilité, EHS). Dans le contexte actuel de développement irraisonné des technologies sans fil, si cette particularité biologique de certains individus n'est pas repérée à temps et si les personne qui en sont porteuses ne peuvent se mettre à l'abri des micro-ondes, elle dégénère en syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques artificiels (SICEM), aussi appelé syndrome des micro-ondes par l'armée depuis les années 60. 

Les atteintes à la santé que ce syndrome induit sont sévères. Dysfonctionnements cardiaques, neurologiques, céphalées violentes, désorientation spatiale, diminution des capacités cognitives, pertes de conscience, perte de la mémoire de fixation, développement de maladies psychiatriques, maladies neurodégénératives, cancers... Tout cela est attesté par des tests sanguins et cardiaques et par imagerie cérébrale (protocole du Pr Belpomme par exemple) ainsi que par plusieurs études récentes publiées dans des revues à comité de lecture. 

Dans des tentatives de survie désespérées, les personnes touchées quittent tout pour se réfugier dans des forêts, des grottes, des fonds de gorges glacials, des caves. En raison de la non-reconnaissance de leur pathologie, on les traite d'hypocondriaques, elles perdent souvent leurs proches, leur travail, leur logement et survivent tant bien que mal complètement désocialisées et sans ressources dans l'isolement le plus complet, quand elles ne succombent pas à une pathologie induite par leur syndrome ou qu'elles ne mettent pas fin à leurs jours. 

A l'heure actuelle, et en dépit de toutes les démarches des associations et collectifs (Une terre pour les EHS, collectif des électrosensibles de France, PRIARTEM, Robin des Toits, CRIIREM, Réseau Environnement Santé...), accompagnées par de nombreux élus, des chercheurs de renommée internationale et des médecins, aucune mesure de protection des personnes électrosensibles n'a été prise. 

Monsieur le Président, il s'agit là de non-assistance à personnes en danger. Il ne fait aucun doute que l'Etat et ses représentants auront dans l'avenir à rendre des comptes et que l'inaction des pouvoirs publics, si elle se prolonge, apparaîtra bientôt scandaleuse à l'opinion publique. 

C'est en connaissance de cause que les représentants de l'Etat laissent se développer des technologies sans fil dont l'immense majorité de la littérature scientifique internationale indépendante montre la toxicité. Ce laisser-faire bafoue le plus élémentaire principe de précaution. 

Monsieur le Président, savez-vous que de plus en plus d'enfants sont atteints par le syndrome des micro-ondes ? Leurs parents n'ont d'autre recours que de les retirer de l'école. Et c'est enfermés dans des caves qu'ils apprennent à lire, inscrits à des cours par correspondance. (Je peux vous en présenter.) Cette discrimination n'est-elle pas indigne ? Quel avenir la France réserve-t-elle à ces enfants ? 

Un avenir qui ressemble à la vie de Corinne ? Après un hiver glacial dans une caravane au fond d'une vallée de montagne encore préservée des ondes, elle avait fini par trouver une maison à l'abri des champs électromagnétiques. A bout de forces, sans ressources, elle a demandé à son frère de l'acquérir. Ce monsieur s'est largement endetté pour rendre la survie de sa sœur possible. Mais voilà qu'après quelques mois, la puissance des antennes-relais a augmenté. Corinne ne parvient plus à vivre dans sa maison, et le seul endroit où elle est à l'abri, c'est un réduit de moins de deux mètres carrés sans lumière logé sous l'escalier. Elle y a installé un tout petit matelas, et c'est là qu'elle passe le plus clair de son temps, éclairée à la bougie. 
Un avenir qui ressemble à la vie de Chantal ? Voilà plusieurs années que cette dame survit péniblement dans une chambre blindée, dans l'obscurité totale. Car, sa pathologie n'ayant pas été prise à temps, elle a développé une intolérance aux produits chimiques et à la lumière, en sus de l'intolérance aux champs électromagnétiques. 

Un avenir qui ressemble à ma vie ? Alors que je menais une existence épanouie et que mon travail d'auteur dramatique commençait à trouver une certaine reconnaissance, j'ai dû tout quitter du jour au lendemain pour me réfugier dans une roulotte sur un terrain que des amis ont eu la gentillesse de mettre à ma disposition. Un espace vital de huit mètres carrés. J'ai dû vendre mon appartement pour financer ma survie. Aujourd'hui, je suis réfugiée dans la montagne, dans une grange sans électricité et sans téléphone, accessible à pied, où je dois tronçonner moi-même des arbres si je veux me chauffer. (Faut-il préciser que je suis une femme d'un mètre soixante affaiblie par la maladie ?). Je suis loin des gens que j'aime et à la merci d'une augmentation de puissance des antennes-relais du secteur. J'ai dépensé toutes mes économies en soins, non-remboursés évidemment. Et je n'ai plus aucune ressource hormis le RSA, qui ne couvre même pas la moitié du coût de mes soins. 

Ce ne sont que quelques exemples. Mais à titre indicatif, le professeur Belpomme a déjà diagnostiqué plusieurs centaines de patients. Et, quand nous avons créé l'association Une terre pour les EHS, en quelques semaines, nous avons recueilli plus de six cents adhésions. De plus, il faut bien comprendre que dans leur situation de dénuement extrême et dans l'impossibilité d'accéder aux moyens de communication modernes où elles sont, les personnes électrosensibles ne peuvent pas se faire entendre dans l'espace public. 

Monsieur le Président, j'en appelle à votre conscience et à votre humanité. Laisser dépérir dans l'indigence et le mépris des milliers de vos concitoyens n'est pas à la hauteur des aspirations d'un pays comme la France. Il me semble que la Constitution de notre pays met fièrement en avant l'égalité de tous et le droit de vivre dignement pour chacun. 

Une fois informé, vous ne pouvez que vous indigner d'une situation pareille et prendre des mesures. 
Pour avoir entendu le témoignage de centaines de personnes et être moi-même atteinte du SICEM, voici les mesures qu'il me semble impératif de prendre immédiatement. 

- la première, dont l'urgence est vitale pour les cas désespérés (j'en connais personnellement au moins une dizaine) est la création de zones protégées, garanties sans micro-ondes, où mettre à l'abri ces personnes, en attendant des mesures plus élaborées. 
- la deuxième est la reconnaissance du Syndrome d'Intolérance aux Champs Electromagnétiques Artificiels (SICEM), afin que les malades puissent être pris en charge par le système de santé. 
- la troisième est la reconnaissance de l'hypersensibilité électromagnétique en tant que handicap fonctionnel, comme c'est le cas en Suède. Je rappelle que la notion de handicap exclut que la cause de la souffrance soit inhérente à la personne (ce n'est pas une maladie) mais bien qu'il s'agit d'un problème social : c'est la société qui n'est pas (ou plus) adaptées à ces personnes ayant une caractéristique particulière non-prise en compte par elle. C'est cette situation qui rend impossible à ces personnes une vie normale et qui les expose à développer le SICEM. 
En parallèle, il me semble important de réévaluer les seuils de protection de la population générale, qui, selon le Professeur Franz Adlkofer, qui a dirigé l'étude européenne REFLEX, ne sont pas du tout adaptés à la réalité biologique des êtres vivants. 

Monsieur le Président, vous ne pouvez pas en conscience prolonger la situation dramatique que le gouvernement précédent a laissé s'installer. 

Je vous supplie de nous aider. 
Marine R 

vendredi 12 octobre 2012

Film gratuit sur les effets des ondes sur la santé


Et si on vous parlait autrement des effets des ondes sur la santé ?

"Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage. Capable de capter et d'émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique.
Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d'experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs inédites de compréhension des effets des ondes sur le vivant."

De la part de son réalisateur, Serge FRETTO, voir le film gratuitement : http://vimeo.com/50746587

Marc CENDRIER
Chargé de l'Information Scientifique
ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
Permanences téléphoniques :
- le matin entre 8h00 et 9h00 (sauf samedi et dimanche matin)
- le soir entre 21h00 et 22h00
E-mail : contact@robindestoits.org

samedi 6 octobre 2012

Du poison dans mon smartphone.


"Lorsqu’à la pollution électromagnétique s’ajoute la pollution chimique : le téléphone portable, un "merveilleux" outil multipolluant"


Article publié par "LE MONDE" le 05.10.2012 par Grégoire Allix

Un mobile peut renfermer jusqu’à 40 éléments contenant des métaux lourds et des polluants organiques persistants.

Quand nous utilisons nos téléphones mobiles, nous nous collons au visage un concentré de poisons : plomb, brome, chlore, mercure, cadmium... "Chaque téléphone testé contient au moins un de ces produits toxiques dangereux", constate l’Ecology Center. Cette organisation écologiste américaine vient de publier, mercredi 3 octobre, les résultats d’une vaste étude de toxicologie menée sur 36 modèles de téléphones portables mis sur le marché depuis cinq ans par dix constructeurs.

Un mobile peut renfermer jusqu’à 40 éléments contenant des métaux lourds et des polluants organiques persistants. Armés de pinces, de ciseaux et de tournevis, les chercheurs de l’Ecology Center ont intégralement démonté les appareils pour soumettre tous leurs composants – processeur, circuits imprimés, écran, boutons, batteries... – à une analyse par fluorescence de rayons X. Plus de mille échantillons ont été passés au crible, à la recherche de 35 éléments ou substances chimiques.

"La conclusion est que les téléphones mobiles sont toxiques et pleins de produits chimiques à risques, mais qu’ils s’améliorent", résume Jeff Gearhart, directeur de recherches à l’Ecology Center, qui souligne que "même les meilleurs téléphones de notre étude sont porteurs d’un danger chimique".

POLLUANTS DANS L’AIR

Les meilleurs ? Le trio de tête est formé du Motorola Citrus, de l’iPhone 4S d’Apple et du LG Remarq. L’iPhone 5, dernier-né de la marque à la pomme, est cinquième, tandis que son grand rival, le Samsung Galaxy S III, est en 9e position. Apple enregistre ainsi un net progrès de génération en génération : l’iPhone 2G, premier de la série apparu en 2007, est de loin le plus toxique des 36 modèles.

"Les préoccupations des consommateurs amènent les fabricants à dessiner et produire des produits plus sains", estime M. Gearhart, qui se félicite aussi du renforcement des réglementations et des contrôles, notamment en Europe et en Asie. Même avec un forfait illimité, le risque d’ingérer les produits toxiques contenus dans un mobile reste limité, bien que l’usure des composants puisse rendre ces poisons volatils.

Mais ces substances peuvent entraîner des pollutions à chaque étape du cycle de vie du téléphone. Leur extraction suscite des dégradations de l’environnement, parfois des conflits. Les employés des constructeurs sont exposés aux poisons lors du processus de fabrication. Et, surtout, les téléphones rejettent encore trop souvent leurs polluants dans l’air, les sols et les nappes phréatiques une fois jetés à la poubelle.

Une grande partie des téléphones usagés finissent dans des décharges ou sont exportés vers des sites de recyclage informel en Asie. "Ces produits chimiques, qui entraînent des malformations congénitales, des difficultés d’apprentissage et d’autres graves problèmes de santé, ont été retrouvés dans le sol à des niveaux dix à cent fois supérieurs à la normale sur des sites de recyclage en Chine", rappelle Jeff Gearhart.

L’Ecology Center appelle donc à un meilleur encadrement national et international de la gestion des déchets électroniques.

Grégoire Allix

jeudi 20 septembre 2012

L'école de Villeneuve de la Raho est tristement connue en France pour avoir vu trois enfants de la même salle de classe atteints de cancers.

A Aubagne l'école maternelle Palissy est à moins de 30 mètres des 17 antennes relais installées sur le toit de l'immeuble "le Général".
Qu’attendent les pouvoirs publiques pour réaliser des mesures d'ondes et peut être éviter que la même chose se produise ?  


Publiée le 1 sept. 2012 par septiemefactory 

A Villeneuve de la Raho, le collectif "Un mât pour les ondes" s'interroge sur l'attitude attentiste des élus. Malgré la dénonciation des contrats avec les opérateurs de téléphonie mobile et le démontage a venir de 8 antennes sur 25, les travaux ne sont pas annoncés. A la veille de la rentrée scolaire, les antennes qui devraient être démontées émettent toujours.

L'école de Villeneuve de la Raho est tristement connue en France pour avoir vu trois enfants de la même salle de classe atteints de cancers. Dans cette école les rayonnements non ionisant des antennes ont été mesurés à des niveaux très supérieurs à la moyenne nationale. Les statistiques en France sont de un cancer pour 220 enfants, à Villeneuve de la Raho la probabilité de développer un cancer pour un enfant dans cette salle de classe est trois fois plus importante (3 pour 220). A partir de trois cas de cancers dans un endroit donné au même moment, une enquête sanitaire est déclenchée car on considère en épidémiologie (étude des causes des maladies) qu'il s'agit d'un cluster : une anomalie statistique dont on ne comprend pas encore la cause. 

Depuis plusieurs années de nombreux scientifiques indépendants ont établis des débuts de preuves sur la nocivité des antennes de téléphonie mobile et des portables. Chaque année cette somme scientifique augmente. en 2011 l'IARC l'organisme qui évalue les risque cancéreux pour l'OMS, à classé les ondes de la téléphonie comme cancérigène probable, (antennes et téléphones). De leur côté les opérateurs financent une recherche favorable à leurs intérêts. Lorsqu'une étude démontre la nocivité des ondes de la téléphonie les opérateurs financent des rééplications de cette étude qui vont par des bias divers, montrer que la première étude ne peut pas être reproduite. Ils mettent ensuite 10 études sans effets en face de la première. Ceux qui se contentent de la science au poids, se rallient du côté de la balance qui pèse le plus lourd. Mais si on regarde de plus près on voit que le financement de cette science "corrompue" provient des opérateurs. 

En attendant le corps médical mondial constate une recrudescence des tumeurs cérébrales. Les opérateurs, comme l'ont fait les industriels de l'amiante, du tabac, ou du médiator, défendent leurs produits et continuent de diffuser des informations qui créent le doute scientifique. Les politiques peu regardants se contentent de cette science au poids et un nouveau scandale sanitaire couve.

vendredi 14 septembre 2012

Ondes électromagnétiques - Enfin un projet de loi pour Janvier 2013 !

Bonjour,

Les députées Laurence Abeille et Isabelle Attard EElv vont déposer une proposition de loi à l'assemblée nationale en janvier 2013, sur l'urgente réglementation des champs électromagnétiques.

C'est un acte fort qui fait écho à la préservation de la santé environnementale.

L'enjeux est complexe mais réalisable, il s'agit d'obtenir la majorité à l'assemblée nationale.

Nous avons 577 député(e)s le calcul est simple...

A ce jour, les député(e)s Vincent Feltesse PS, Noël Mamère EElv, Isabelle Attard et Laurence Abeille sont déjà positionnés.

Comment ?

Faire signer un engagement.

Il suffit d'aller voir vos député(e)s, de toutes les familles politiques, pour leur demander de regarder cette loi avec attention, de faire preuve de courage, afin de protéger la santé publique.

Ne jamais oublier qu'il y a des personnes qui ont un handicap environnemental lié aux champs électromagnétiques.

Pour ces personnes, motivons nous et ensemble nous y arriverons !!!

A..............le.........................

Je soussigné M/Mme.......... le député du département de .......m'engage à voter POUR une loi sur les champs électromagnétiques en janvier 2013. signature

Si un député ne souhaite pas signer vous pouvez lui proposer de la signer en ligne.

http://www.petitionenligne.fr/petition/liste-des-depute-e-s-en-faveur-d-une-loi-sur-les-champs-electromagnetiques/3002

Les lettres sont à renvoyer à stopantennesmalefrics@hotmail.fr ou par courrier à l'association sans onde 20 rue de Nérac, 33800 Bordeaux. Nous nous chargeons de faire le lien avec les aux député(e)s.

Régulièrement nous posterons le décompte des signatures.

Derrière cette loi il y a les lobbys des multinationales qui eux vont tout faire pour le voir échouer.

Inscrivons nous dans une histoire qui s'écrirait volontiers sans nous !!!

A bientôt, Stéphane Sanchez

collectif icf st germain

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai