Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

samedi 26 mai 2012

Antennes relais : Les commissariats prennent le relais des HLM !

Après la fronde des habitants d'HLM, maintenant des antennes-relais sur les commissariats !
Des accords secrets existent entre des opérateurs de téléphonie mobile et des préfectures.

18 mai 2012 - par Média
Par Europe1.fr avec Sébastien Ruffet



Les opérateurs de téléphonie mobile ont des impératifs d’extension du réseau. Mais l’implantation des antennes relais reste sujette à controverse. D’où l’idée de certains opérateurs de les installer sur des bâtiments publics un peu particuliers : les commissariats de police. Certains opérateurs auraient même payé jusqu’à 1.000 euros par mois par antenne.
Plusieurs cas montrent que les policiers n’ont pas été mis au courant du fait d’accords secrets passés entre opérateurs et préfectures à l’encontre de tout principe de précaution. Des antennes dans la cheminée
Il y a quelques mois, ces pratiques ont été révélées à Nancy. Le syndicat SGP Police FO a découvert que Free projetait d’implanter trois antennes dissimulées dans de fausses cheminées érigées sur le toit-terrasse de l’hôtel de police. Une installation dont n’avaient pas été informés les fonctionnaires qui travaillaient dans les locaux juste en dessous. Au préalable, une convention avait été rédigée mais pas signée entre l’administrateur général des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et Free Mobile, selon L’Est Républicain.
Guy Dalier, secrétaire régional d’Unité SGP Police FO, avait fait remonter l’information aux instances nationales et avait publié un article dans le magazine interne de la police fin 2011 pour soulever le problème.
"A l’occasion de la distribution de cette revue syndicale, nous nous sommes aperçus que le problème n’était pas que local, à Nancy mais qu’il avait tendance à se répéter un peu partout sur le territoire national. On a découvert un projet d’implantation massif d’antennes sur une bonne partie des hôtels de police de la région mais aussi de France", affirme Guy Dalier au micro d’Europe 1. Des commissariats du sud ouest approchés
Le cas nancéien n’est donc pas isolé. Dans le sud ouest, par exemple, plusieurs commissariats ont été approchés par différents opérateurs. Tous ont pour l’instant refusé d’avoir une antenne au dessus de leur tête.
En revanche, à Colmar dans le Haut-Rhin, des policiers affirment avoir surpris des installateurs dans la cour du commissariat. Une information impossible à vérifier dans un dossier où la loi du silence est de mise.


PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

mercredi 23 mai 2012

Pétition "stopper le lobbying des opérateurs téléphonistes"

Vous exposeriez-vous 24h sur 24h à l'amiante, au DDT, à l'éther de Glycol ?
Alors pourquoi l'accepteriez-vous de la téléphonie mobile, du Wifi, d'un DECT ? classés dans le Groupe 2B - potentiellement cancérigène - par l'OMS le 31 Mai 2011.


stopper le lobbying des opérateurs téléphonistes


 Pourquoi c'est important

Par la voie classique des pétitions, les maires n'ont aucun pouvoir de réglementer les émissions d'ondes des antennes téléphoniques, ni d'imposer les limites européennes. Nous, citoyens, ne pouvons que contrôler les niveaux après installation des antennes, par des organismes dépendants des opérateurs, à nos frais. La pollution électromagnétique en augmentation constante provoque des leucémies infantiles, des tumeurs cérébrales, des dégénérescences des cellules du cerveau (Alzheimer), etc., rapports médicaux à l'appui. Les antennes doivent faire l'objet de règles strictes et une mise en garde doit être imposée sur tout objet émettant des ondes : portables, tablettes, I-pod, babyphone, wifi, plaques à induction, etc. Il en va de la santé publique. Le gouvernement tire profit de son laxisme envers les opérateurs au mépris de notre santé à tous.
Soyez nombreux à signer cette pétition et à la faire circuler au plus grand nombre autour de vous.


ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
Permanences téléphoniques :
- le matin entre 8h00 et 9h00 (sauf samedi et dimanche matin)
- le soir entre 21h00 et 22h00

dimanche 20 mai 2012

La Guerre des Ondes

Le film "La Guerre des Ondes" réalisé par Jean Heches a été présenté samedi soir à la Foire Bio de Colmar.


Avec la participation de Jeanine Le calvez (Présidente de PRIARTéM), Mona Nilson, Kerstin Steinberg, des Malades, des Médecins, une armé de Chercheurs, des Industriels, des agences de Défense de Produits, des hommes Politiques, des Citoyens,....

jeudi 10 mai 2012

Antennes Relais - Résultat de notre enquête sanitaire

Les résultats de notre enquête sanitaire
Sur l’impact des Antennes relais
 (Champs électromagnétiques)


jeudi 3 mai 2012

La Protection contre les radiofréquences en conflit avec la science

Déclaration faite en forêt de Saoû par le professeur Franz Adlkofer* le 17 septembre 2011


Lire l'intégralité du Document ici
Extrait 


Hyper-sensibilité Electromagnétique 


C’est une réelle tragédie que des milliers de personnes en Europe, qui souffrent  des effets des champs électromagnétiques, soient considérées comme des malades mentaux seule-  ment parce que la science n’est pas encore capable de comprendre les mécanismes de base conduisant à l’électrosensibilité. Les médecins, qui sont consultés par de plus en plus de personnes ayant des symptômes qui ne s’apparentent à aucune maladie connue, se sentent aussi démunis que leurs patients qui souffrent a un point tel que leur désarroi ne peut plus être ignoré.Ceci devrait être une raison suffisante pour que nos sociétés prennent soin de ces personnes qui s’efforcent de mener une vie aussi normale que possible.


Depuis des décennies, les politiques et l’industrie ont dominé la recherche sur les champs électromagnétiques, poussés par leurs intérêts économiques. C’est la raison pour laquelle notre connaissance actuelle sur les risques des champs électromagnétiques pour l’homme et la nature est très pauvre, comparée à d’autres risques environne- mentaux pourtant plus aléatoires.Ces raccourcis de la science dus au fait que la recherche ne se concentre pas sur les besoins humains mais sur les profits économiques, est la principale raison de vos problèmes  [des personnes électro-hypersensibles, ndt].Ce déficit de la science entraîne une profonde injustice envers tous ceux qui souffrent des champs électromagnétiques artificiels et personne n’en prend la responsabilité.


Aussi longtemps que l’industrie et les politiques arriveront à défendre l’idée qu’il n’y a pas d’effets biologiques significatifs en-dessous des limites d’exposition en vigueur, la situation légale des ectro-sensibles ne changera probablement pas. Ce qu’il nous faut, c’est une recherche indépendante, financée par des structures privées si les gouvernements refusent de le faire. La situation actuelle, dans laquelle les bénéficiaires de cette technologie font d’énormes profits, tandis que les conséquences ne sont supportées que par une minorité sacrifiée, est absolument intolérable.


Conclusion 


Au regard de mon expérience passée avec l’industrie des télécommunications sans fil, les politiques et les médias, alors que j’organisais et coordonnais le projet REFLEX, je peux affirmer aujourd’hui qu’en toutes circonstances, la vérité sur les effets biologiques des rayonnements RF est largement étouffée par tous  les moyens  –  y compris des moyens criminels. Or il est nécessaire en démocratie que la loi, le droit et la vérité soient au-dessus du pouvoir et de ceux qui le possèdent. Dans notre cas, cette règle a été outrageusement violée au détriment de la population. Il n’y a rien de plus important dans nos sociétés démocratiques que d’insister pour que cette règle soit respectée. Voilà ce que je vous encourage vivement à faire.


Professeur Franz Adlkofer


Traduction de l’anglais : Yves et Christiane Mouremble

mercredi 2 mai 2012

L' OMS disposait de preuve !


L’OMS DISPOSAIT DE PREUVES SUFFISANTES POUR RECONNATRE LES RADIOFRÉQUENCES  ELECTROMAGNETIQUES EN CARCINOGENES PROBABLES

Deux interviews vidéo d’Annie Sasco, ancienne responsable des études épidémiologiques de prévention du cancer à l’IARC (la branche de l’OMS en charge du cancer)

Annie Sasco, ancienne responsable des études épidémiologiques de prévention du cancer à l’IARC (la branche de l’OMS en charge du cancer), qui dirige désormais le laboratoire médicale en épidémiologie de prévention des cancers à Bordeaux, met les pieds dans le plats en cette fin avril 2012.

Source site : PRIARTEM 

L' Artac appelle à l'action publique !


Impacts sanitaires des pollutions : 18/04/2011


À l'occasion du troisième colloque international de Paris, le Pr Belpomme et nombre de scientifiques ont réaffirmé leurs certitudes quant aux origines environnementales des maladies chroniques. Et appelé les pouvoirs publics à prendre d'urgence des mesures de prévention.

L’Appel de Paris a-t-il été entendu des pouvoirs publics ? Pour le Pr Belpomme, instigateur de cette déclaration historique sur les dangers sanitaires des pollutions chimiques, la réponse est sans appel. « Non. Le gouvernement ne veut toujours pas voir la vérité en face, et admettre que les pollutions environnementales sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques. » Si le mouvement impulsé en 2004 par le cancérologue est aujourd’hui mondialement reconnu, tant par la sphère médico-scientifique que par la société civile, sa traduction concrète dans les politiques de santé publique et de lutte contre les pollutions environnementales avance en revanche lentement. Pourtant, les programmes de recherche scientifique en la matière se multiplient, et démontrent inlassablement les méfaits d’une exposition prolongée à de nombreuses substances chimiques. En particulier chez le fœtus, qui « garde en mémoire » l’intoxication qu’il subit pendant la grossesse.

Le fœtus particulièrement vulnérable aux pollutions

La prévention auprès des femmes enceintes est donc primordiale aux yeux des scientifiques. Réunis lors du troisième colloque international de l’Appel de Paris les 12 et 13 avril derniers, organisé par l’Artac*, médecins, pédiatres, toxicologues, biologistes et cancérologues du monde entier ont tous insisté sur la très grande vulnérabilité du fœtus aux expositions chimiques. « La théorie des origines fœtales de nombreuses maladies chroniques, qu’il s’agisse de l’asthme, du diabète de type 1, de maladies neurodégénératives, de l’obésité ou de cancers, fait aujourd’hui consensus », résume Ernesto Burgio, pédiatre italien président du comité scientifique de l’ International Society of Doctors for Environment. Patrick Fénichel, endocrinologue niçois, en veut pour preuve une étude réalisée auprès de jeunes hommes, dont certains étaient atteints d’un cancer des testicules. « Quand nous avons testé la présence de substances toxiques dans le sang de ces hommes, aucun d’entre eux ne présentaient de taux anormal. Nous avons donc renouvelé l’expérience auprès de leurs mères. Chez toutes celles dont les enfants étaient cancéreux, les taux de substances toxiques se sont révélés bien plus élevés que chez les mères des sujets sains. » Car selon de nombreuses études scientifiques, les cellules souches du fœtus gardent en mémoire l’intoxication subie par la mère. Ce phénomène multiplie alors le risque d’émergence d’une maladie chronique à l’âge adulte.

Quant aux expériences réalisées sur des rats et souris de laboratoire, elles démontrent systématiquement une recrudescence de cancers et autres maladies chroniques chez les animaux exposés à des perturbateurs endocriniens (BpA et pesticides en tête), en particulier quand cette exposition a lieu au stade fœtal. « Nous avons déjà démontré par le passé que les phénomènes observés chez le rat et la souris pouvaient également l’être chez l’homme », souligne Ana Soto, Professeur en biologie cellulaire à la Faculté de Médecine de Boston. « Nous disposons aujourd’hui de suffisamment de preuves scientifiques pour élaborer des actions préventives dignes de ce nom », insiste-t-elle.

« Malgré la reconnaissance des institutions, les politiques publiques manquent d’ambition »

L’origine environnementale des maladies chroniques ne fait donc plus aucun doute. Et la grande vulnérabilité du fœtus aux pollutions chimiques est en passe d’être établie comme une théorie solide. Ces certitudes scientifiques trouvent aujourd’hui un écho auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour la première fois depuis le lancement de l’Appel de Paris, l’institution internationale s’est d’ailleurs associée au combat de l’Artac. Maria Neira, directrice du département Santé publique et Environnement, estimait alors en ouverture du colloque, que « toutes les institutions doivent porter ce message essentiel, et faire de la santé un élément moteur, un agrument de poids pour renforcer les politiques de protection de l’environnement. » À ces côtés, David Gee, conseiller scientifique principal de l’Agence européenne de l’environnement, appelait les industriels de la chimie, de la pharmacie et tous ceux susceptibles de mettre des substances potentiellement toxiques sur le marché, à reconsidérer à la hausse leurs budgets dédiés à la prévention. « L’industrie de l’amiante s’est écroulé après le scandale sanitaire qu’elle a connu…Il serait judicieux de la part des industriels de consacrer tout le budget nécessaire à la prévention et à la gestion du risque sanitaire avant de tout miser sur la commercialisation. Et les politiques publiques devraient les y inciter. »

Car aux yeux du Pr Belpomme – et de nombre de ces confères – les politiques actuelles « bradent la santé publique ». Le cancérologue juge le Plan National Santé Environnement « hors circuit », car négligeant les causes environnementales de multiples maladies. « Le gouvernement aligne les recommandations auprès des citoyens pour se dédouaner de toute action concrète. » Quant à la cohorte ELFE annoncée par la ministre de l’environnement fin février dernier (voir article lié), étude épidémiologique menées auprès de 20 000 enfants sur vingt ans, elle laisse le Professeur dubitatif. « Aucune donnée toxicologique ni biologique ne sera relevée. Et les résultats ne seront connus que dans vingt ans ! J’espère que les pouvoirs publics n’attendront pas si longtemps pour prendre des mesures ! »

* Association de Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse, présidée par le Pr Belpomme.

Anne Farthouat
Mis en ligne le : 18/04/2011
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Source : http://www.novethic.fr/novethic/planete/environnement/pollution/impacts_sanitaires_pollutions_artac_appelle_action_publique/133555.jsp

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai