Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

samedi 24 mai 2014

Documentaire FR 3 : Danger des ondes électromagnétiques

Documentaire complet Hors Série de France 3 diffusé le mercredi 18 mai 2011. Il traite du danger des ondes électromagnétiques, et particulièrement celles émises par la téléphonie mobile.

Les études scientifiques qui mettent en évidence les effets nocifs de ces appareils sur le cerveau se multiplient. 
En France, les utilisateurs de téléphones portables et les médias s'en tiennent généralement aux discours des opérateurs et des fabricants.

Quels sont les dangers de portables et les précautions à prendre ? 

10 règles pour se protéger des risques liés aux ondes :
http://www.e-sante.fr/telephone-porta...

dimanche 18 mai 2014

Les méfaits des ondes radio reconnus par la NASA en 1981

Dès 1981, l’essentiel des dangers liés à l’exposition des organismes humains aux radiofréquences micro-ondes étaient connus et recensés explicitement par l’agence spatiale américaine (NASA), dans son rapport Electromagnetic Field Interactions with the Human Body : Observed Effects and Theories (Interactions des Fréquences électromagnétiques avec le corps humain : Effets observés et théories). Ceci y compris les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS) qui ne sont toujours pas connus par l’essentiel des médecins, ni reconnus par nos autorités, 33 ans plus tard!
Ce qui est remarquable dans ce rapport est qu’il recense les effets physiologiques des radiofréquences sur les humains – à l’exclusion des animaux -, dans des densités de puissances faibles et dites athermiques. Aujourd’hui encore, nos autorités et les acteurs de la téléphonie mobile réfutent qu’il puisse y avoir des effets physiologiques en dehors des densités de puissances dites thermiques.
D’autre part, ce document voulait contribuer à éliminer une confusion mondiale concernant les limites d’expositions à ces radiofréquences micro-ondes. Ce fut en vain car aujourd’hui encore, les limites d’expositions sont basées sur les effets thermiques d’une irradiation unique de 6 minutes qui ne devait pas compromettre la vie d’un sujet sain, alors que nous sommes irradiés en permanence 24 sur 24 et 7/7, y compris nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes malades et âgées.
Le rapport de la NASA donne même une ébauche d’explications du processus d’initiation de cancers suite à l’exposition prolongée aux radiofréquences en évoquant une asphyxie des cellules suite à une fuite des électrons hors des cellules due à l’irradiation aux fréquences électromagnétiques.
Voici de manière plus détaillée des extraits du document. 
Par exemple, le tableau 11 résume les effets perçus par des personnes travaillant dans des champs électromagnétiques de fréquences radio, ce qui est le cas d’une très large majorité d’entre-nous aujourd’hui avec les téléphones portables, sans fils DECT, Wi-Fi, BlueTooth etc.
Céphalées, fatigue oculaire, vertiges, troubles du sommeil nocturne, somnolences diurnes, irritabilité, sentiments de peur, tension nerveuse, dépression, troubles de la mémoire, réactions hypocondriaques, insociabilité, douleurs musculaires et aux alentours du cœur, difficultés respiratoires, transpiration des extrémités augmentée, difficultés sexuelles.

mercredi 14 mai 2014

Robin des Toits : Lettre ouverte au Premier Ministre de la France

Demande de l'application de la Loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010‏


Monsieur Manuel VALLS    Premier Ministre

Confirmation du lien entre cancer du cerveau et utilisation du portable
Demande de l'application de la Loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010

Copie à :
Madame Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales et de la Santé
Monsieur Benoît HAMON, Ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche

Monsieur le Premier Ministre,

La revue Occupationnal and Environmental Medecine a publié, au début de ce mois de Mai, les résultats d’une enquête épidémiologique menée par une équipe française qui confirme les résultats des travaux de Hardell et du programme Interphone. Pour les utilisateurs dits intensifs du téléphone portable le risque est plus que doublé.
Précisons que l'usage "intensif" commence, pour cette étude, à 836 heures par an, soit 15 heures par mois, soit encore... un peu moins d'une demi-heure par jour, seuil dépassé par une majorité des utilisateurs et notamment les jeunes. Or, cette dernière population est plus exposée encore du fait de la moindre épaisseur des tissus et d'un usage plus long au cours de la vie.

Cette étude vient corroborer de nombreux travaux d'origine étrangère (publiés notamment sur le site de notre association), mais qui avaient tendance, comme le nuage de Tchernobyl, à s'arrêter à la frontière...
Impossible, cette fois, d'ignorer ces travaux bordelais sans remettre en cause la qualité de la recherche nationale !!

Cette parution doit enfin conduire les pouvoirs publics à sortir de l'indifférente indulgence qui a toujours été la leur vis-à-vis de l'industrie des technologies sans fil. Il est temps, en particulier, de donner leur véritable portée à des dispositions déjà existantes :

Article L.511-5 du code de l'éducation issu de l'article 183 de la loi n° 2010-788  du 12 Juillet 2010 qui interdit les portables dans les établissements scolaires : disposition restée lettre morte faute de texte d'application et d'instructions aux chefs d'établissements ;

Article L.5231-3 issu de l'article 183 de la loi n° 2010-788 – Article 183, Art. L. 5231-3 – du 12 Juillet 2010 qui interdit toute publicité, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par les enfants de moins de 14 ans ; cette disposition est d'application directe mais elle est allègrement contournée, voire violée par les opérateurs pour qui les jeunes représentent une cible de choix ;
 
Article 184 de la loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010 qui impose « Pour tout appareil de téléphone mobile proposé à la vente sur le territoire national, le Débit d’Absorption Spécifique [ndlr : DAS]* est indiqué de façon lisible et en français. Mention doit également être faite de la recommandation d’usage de l’accessoire permettant de limiter l’exposition de la tête aux émissions radioélectriques lors des communications, prévu au cinquième alinéa du I de l’article 183 de la présente loi ». Cette disposition est très inégalement appliquée.
 
Article L5231-4 issu de l'article 183 de la loi n°2010-788 du 12 juillet 2010 : "La distribution à titre onéreux ou gratuit d'objets contenant un équipement radioélectrique dont l'usage est spécifiquement dédié aux enfants de moins de six ans peut être interdite par arrêté du ministre chargé de la santé, afin de limiter l'exposition excessive des enfants." : cette disposition n'a jamais été mise en oeuvre alors que les jouets "communicants" se multiplient dangereusement.
 
Plus largement, il est temps de délivrer enfin une communication claire et nette en direction des parents, déconseillant l'achat d'un téléphone portable pour les enfants.
En effet, les portables sont plus toxiques aujourd'hui.
Plus en puissance, un smartphone ayant un DAS de 1W/m² env. contre 0,5 pour un portable NOKIA de 1995.
La 4G lancée sur le marché sans aucune étude d'impact sanitaire préalable (malgré les demandes répétées de Robin des Toits depuis 2009) ajoute encore au nombre de fréquences utilisées et accroît d'environ 50% l'exposition du public.
 
Enfin, la parution de cette étude doit être l'occasion d'accélérer l'examen par le Sénat et la promulgation de la proposition de loi portée par Mme Laurence Abeille, députée, et d'en renforcer le contenu, notamment pour la protection des enfants des écoles primaires et des collèges contre les ondes électromagnétiques.
 
Dans cette attente,
Et nous tenant naturellement à votre disposition pour tout complément d'information,
 
Nous vous prions d'agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de nos sentiments les plus respectueux.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

Une étude française vient confirmer le lien entre cancer du cerveau et utilisation du portable !

La revue Occupationnal and Environmental Medecine vient de publier les résultats d'une enquête épidémiologique menée par une équipe française bordelaise qui confirme les résultats des travaux de Hardell et du programme Interphone*. Pour les utilisateurs dits intensifs du téléphone portable le risque est plus que doublé (OR : 2,83 ; IC 1,30 à 6,17).
Encore faut-il s'entendre sur ce que l'on appelle les utilisateurs intensifs : plus de 836 heures, et en terme de moyenne mensuelle : plus de 15 heures (c'est-à-dire une demi- heure par jour), ce que dépassent aujourd'hui largement de très nombreux utilisateurs et, notamment, les plus jeunes.
Dans une étude cas-témoins menée dans quatre régions françaises sur un échantillon de 253 cas de gliomes (tumeurs cancéreuses du cerveau), 194 cas de méningiomes et de 892 cas-témoins, Gaëlle Coureau et ses collègues montrent que le risque est plus élevé pour les gliomes, les tumeurs temporales, les usages professionnels et urbains du téléphone.
Cette étude constitue donc une preuve supplémentaire de l'effet potentiellement cancérigène du téléphone portable.
Combien de preuves faudra-t-il encore pour de réelles mesures de protection de la population et tout particulièrement des enfants ?
* Coureau et al. « Mobile phone use and brain tumours in the CERENAT case-control study », Occup. Environ. Med, mai 2014
Premiers retours :
Electrosensibles de France - Membre et référent de l'Association nationale P.R.I.A.R.Té.M
Correspondance : PRIARTéM - Collectif des Electrosensibles de France; 5, Cour de la Ferme Saint-Lazare ; 75010 Paris
Email : Cliquez -  Tél : 01 42 47 81 54
www.electrosensible.org - www.priartem.fr.

vendredi 9 mai 2014

Ondes électromagnétiques : l'assemblée européenne fait une recommandation aux états membres du conseil de l'Europe

Le danger potentiel des champs électromagnétiques et leur effet sur l’environnement

1. L’Assemblée parlementaire a souligné à maintes reprises l’importance de l’engagement des Etats en faveur de l’environnement et de la santé environnementale telle qu’exposée dans de nombreuses chartes, conventions, déclarations et protocoles depuis la Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain et la Déclaration de Stockholm (Stockholm, 1972). L’Assemblée renvoie à ses travaux antérieurs dans ce domaine, notamment à laRecommandation 1863 (2009) «Environnement et santé: mieux prévenir les risques sanitaires liés à l’environnement», la Recommandation 1947 (2010) sur la pollution sonore et lumineuse, et, plus généralement, laRecommandation 1885 (2009) «Elaboration d’un protocole additionnel à la Convention européenne des droits de l’homme relatif au droit à un environnement sain» et la Recommandation 1430 (1999) relative à l’accès à l’information, à la participation du public au processus décisionnel et à l’accès à la justice en matière d’environnement (mise en œuvre de la Convention d’Ǻrhus).

2. Les effets potentiels sur la santé des champs magnétiques de très basse fréquence entourant les lignes et appareils électriques font l’objet de recherches et suscitent de nombreux débats publics. Selon l’Organisation mondiale de la santé, les champs électromagnétiques de toute la gamme des fréquences sont de plus en plus présents et influencent de plus en plus notre environnement, suscitant des inquiétudes et des spéculations croissantes. Tout le monde est aujourd’hui exposé à des degrés divers à des champs électromagnétiques dont les niveaux vont continuer d’augmenter avec les progrès de la technologie.

3. Le téléphone portable est maintenant répandu dans le monde entier. La technologie sans fil repose sur un réseau dense d’antennes fixes ou de stations de base qui relaient l’information sous forme de signaux radiofréquence. Il y a plus de 1,4 million de stations de base dans le monde et leur nombre augmente sensiblement avec l’introduction des technologies de troisième génération. D’autres réseaux sans fil permettant l’accès à grande vitesse à l’internet et à d’autres services, comme les réseaux locaux sans fils, sont aussi de plus en plus répandus dans les habitations, les bureaux et de nombreux lieux publics (aéroports, écoles, zones résidentielles et urbaines). Avec le nombre de stations de base et de réseaux locaux sans fil, c’est aussi l’exposition de la population aux radiofréquences qui augmente.

4. Si les champs électriques et électromagnétiques de certaines bandes de fréquence ont des effets tout à fait bénéfiques, qui sont utilisés en médecine, d’autres fréquences non ionisantes, que ce soient les extrêmement basses fréquences, les lignes électriques ou certaines ondes à haute fréquence utilisées dans le domaine des radars, de la télécommunication et de la téléphonie mobile, semblent avoir des effets biologiques non thermiques potentiels plus ou moins nocifs sur les plantes, les insectes et les animaux, ainsi que sur l’organisme humain, même en cas d’exposition à des niveaux inférieurs aux seuils officiels.

5. Concernant les normes ou les seuils relatifs aux émissions des champs électromagnétiques de tout type et de toute fréquence, l’Assemblée préconise l’application du principe «ALARA» (as low as reasonably achievable), c’est-à-dire du niveau le plus bas qu’il soit raisonnablement possible d’atteindre, prenant en compte non seulement les effets dits thermiques, mais aussi les effets athermiques ou biologiques des émissions ou rayonnements de champs électromagnétiques. De plus, le principe de précaution devrait s’appliquer lorsque l’évaluation scientifique ne permet pas de déterminer le risque avec suffisamment de certitude. D’autant que, compte tenu de l’exposition croissante des populations – notamment des groupes les plus vulnérables comme les jeunes et les enfants –, le coût économique et humain de l’inaction pourrait être très élevé si les avertissements précoces étaient négligés.

6. L’Assemblée regrette l’absence de réaction face aux risques environnementaux et sanitaires connus ou émergents, et les retards quasi systématiques dans l’adoption et l’application de mesures de prévention efficaces, en dépit des appels à l’application du principe de précaution et de toutes les recommandations, déclarations et nombreuses avancées réglementaires et législatives. Attendre d’avoir des preuves scientifiques et cliniques solides avant d’intervenir pour prévenir des risques bien connus peut entraîner des coûts sanitaires et économiques très élevés, comme dans les cas de l’amiante, de l’essence au plomb et du tabac.

7. De plus, l’Assemblée constate que le problème des champs ou ondes électromagnétiques et leurs conséquences possibles sur l’environnement et la santé est évidemment comparable à d’autres problèmes actuels, comme celui de l’autorisation de la mise sur le marché des médicaments, des produits chimiques, des pesticides, des métaux lourds ou des organismes génétiquement modifiés. Elle insiste donc sur l’importance cruciale de l’indépendance et de la crédibilité des expertises scientifiques pour obtenir une évaluation transparente et objective des effets nocifs potentiels sur l’environnement et la santé humaine.

8. Compte tenu de ce qui précède, l’Assemblée recommande aux Etats membres du Conseil de l’Europe:

8.1. de manière générale:

8.1.1. de prendre toutes les mesures raisonnables pour réduire l’exposition aux champs électromagnétiques, notamment aux radiofréquences émises par les téléphones portables, et tout particulièrement l’exposition des enfants et des jeunes pour qui les risques de tumeurs de la tête semblent les plus élevés;

8.1.2. de revoir les fondements scientifiques des normes actuelles d’exposition aux champs électromagnétiques fixées par la Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants (International Commission on Non-Ionising Radiation Protection), qui présentent de graves faiblesses, et d’appliquer le principe «ALARA», à la fois pour ce qui est des effets thermiques et des effets athermiques ou biologiques des émissions ou rayonnements électromagnétiques;

8.1.3. de mettre en place des campagnes d’information et de sensibilisation aux risques d’effets biologiques potentiellement nocifs à long terme pour l’environnement et la santé humaine, en particulier à destination des enfants, des adolescents et des jeunes en âge de procréer;

8.1.4. de porter une attention particulière aux personnes «électrosensibles» atteintes du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prendre des mesures spéciales pour les protéger, en créant par exemple des «zones blanches» non couvertes par les réseaux sans fil;

8.1.5. dans le but de réduire les coûts, d’économiser de l’énergie et de protéger l’environnement et la santé humaine, d’accroître les efforts de recherche sur de nouveaux types d’antennes, de téléphones portables et d’appareils de type DECT, et d’encourager la recherche et le développement de télécommunications fondées sur d’autres technologies tout aussi efficaces, mais ayant un effet moins nocif sur l’environnement et la santé;

8.2. s’agissant de l’utilisation individuelle du téléphone portable, du téléphone sans fil DECT, du Wi-Fi, du WLAN et du WIMAX pour les ordinateurs et autres applications sans fil, par exemple les interphones pour la surveillance des bébés:

8.2.1. de fixer un seuil de prévention pour les niveaux d’exposition à long terme aux micro-ondes en intérieur, conformément au principe de précaution, ne dépassant par 0,6 volt par mètre, et de le ramener à moyen terme à 0,2 volt par mètre;

8.2.2. d’appliquer toutes les procédures nécessaires d’évaluation des risques à tous les nouveaux types d’appareil avant d’autoriser leur commercialisation;

8.2.3. d’instaurer un système d’étiquetage clair signalant la présence de micro-ondes ou de champs électromagnétiques et indiquant la puissance d’émission ou le débit d’absorption spécifique (DAS) de l’appareil, ainsi que les risques pour la santé liés à son utilisation;

8.2.4. d’informer sur les risques potentiels pour la santé des téléphones sans fil de type DECT, des interphones pour la surveillance des bébés et d’autres appareils domestiques qui émettent continuellement des ondes pulsées, si l’ensemble des appareils électriques restent en permanence en veille, et de recommander l’utilisation de téléphones fixes filaires chez soi ou, à défaut, de modèles qui n’émettent pas des ondes pulsées en continu;

8.3. s’agissant de la protection des enfants:

8.3.1. de concevoir, avec différents ministères (Education, Environnement et Santé) des campagnes d’information ciblées destinées aux enseignants, aux parents et aux enfants, pour les mettre en garde contre les risques spécifiques d’une utilisation précoce, inconsidérée et prolongée des téléphones portables et autres appareils émettant des micro-ondes;

8.3.2. de privilégier pour les enfants en général, et plus particulièrement dans les écoles et salles de classe, des systèmes d’accès à l’internet par connexion filaire et de réglementer de façon stricte l’utilisation du portable par les élèves dans l’enceinte de l’école;

8.4. s’agissant de la planification des lignes électriques et des stations de base des antennes-relais:

8.4.1. de prendre des mesures d’urbanisme prescrivant une distance de sécurité à respecter entre les lignes à haute tension et autres installations électriques et les habitations;

8.4.2. d’appliquer des normes de sécurité strictes en ce qui concerne l’impact sanitaire des installations électriques dans les nouveaux logements;

8.4.3. d’abaisser les seuils admissibles pour les antennes-relais, conformément au principe ALARA, et d’installer des systèmes de surveillance globale et continue de toutes les antennes;

8.4.4. de déterminer les lieux d’implantation de toute nouvelle antenne GSM, UMTS, Wi-Fi ou WIMAX non pas en fonction des seuls intérêts des opérateurs, mais en concertation avec les responsables des collectivités territoriales et avec les habitants ou des associations de citoyens concernés;

8.5. s’agissant de l’évaluation des risques et des précautions à prendre:

8.5.1. d’axer davantage l’évaluation des risques sur la prévention;

8.5.2. d’améliorer les critères d’évaluation des risques et la qualité de cette évaluation en créant une échelle standard des risques, en rendant obligatoire l’indication du niveau de risque, en demandant que plusieurs hypothèses de risque soient étudiées et en tenant compte de la compatibilité avec les conditions de la vie «réelle»;

8.5.3. d’écouter et de protéger les scientifiques qui donnent la première alerte;

8.5.4. de formuler une définition du principe de précaution et du principe ALARA axée sur les droits de l’homme;

8.5.5. d’augmenter le financement public de la recherche indépendante, notamment au moyen de dons d’entreprises et de la taxation des produits qui font l’objet d’études publiques d’évaluation des risques sanitaires;

8.5.6. de créer des commissions indépendantes pour l’attribution de fonds publics;

8.5.7. de rendre obligatoire la transparence des groupes de pression;

8.5.8. de promouvoir des débats pluralistes et contradictoires entre toutes les parties prenantes, y compris la société civile (Convention d’Ǻrhus).

Source : Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe : http://assembly.coe.int/Mainf.asp?link=/Documents/AdoptedText/ta11/FRES1815.htm

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


***********************************************************************************************************


Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


*

Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai