Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

samedi 25 mai 2013

Antennes relais Aubagne : Les ondes électromagnétiques, une question de santé public ?

Le 25 Janvier 2012 à la demande du Collectif du Général, la Mairie a organisé une réunion de concertation sur les implantations d'antennes relais de téléphonie mobile.

Le Maire d'Aubagne Daniel Fontaine donne le tonles antennes relais : on s' écoute


Charte de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays de l'étoile pour la régulation des antennes relais.


Date de la demande du Collectif du Général Aubagne : Février 2012 !

Proposition de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays de l'étoile à la date du 26 Septembre 2012 : Aucune !!!!!!!!

8 mois d'attente et, pas le moindre contact pour élaborer la charte demandée par le Collectif du Général !!!!!!!

Après un courrier du Collectif envoyé le 24/10/2012 à Mr le Maire Daniel Fontaine, nous obtenons enfin un rendez vous en Mairie le 2/11/2012 !
Les discussions sur les antennes relais (charte, mesures d'ondes électromagnétiques) vont reprendre, du moins nous l'espérons.

Compte rendu de la réunion du2/11/2012 en Mairie :

Les Responsables nous ont émis une fin de non recevoir !

- "Pas de campagne de mesures"

- "Pas de commission intercommunale"

- "Pas de plan de couverture des ondes sur l'ensemble de la commune"

- "Pas de charte municipale pour la sécurité des zones d'habitations HLM et d'écoles à moins de 100 m"

D'après les Responsables de la Mairie une charte ne pourrait servir qu'en cas de nouvelles poses d'antennes relais.

Pour le cas de l'immeuble le Général, de l'école maternelle situé à moins de 35 mètres et de la maison de retraite situé elle aussi à moins de 15 mètres, il serait trop tard ?



Le 18/05/2013 toujours aucune réponse de Mr Jacques Pascal responsable technique de la ville chargé de la régulation et de l'implantation des antennes relais

Le Collectif du Général donne également le ton

Les antennes relais : on s'écoute ..........ou pas

Il n' y a pas plus silencieux que ceux qui ne veulent rien faire......... c'est l'Arlésienne qui se joue maintenant !

Ce que les responsables de la Ville d'Aubagne et de l'Agglomération du Pays de l'Etoile n'ont pas fait, la ville d'Angoulême l'a fait !

La preuve !


A suivre

vendredi 24 mai 2013

Etude Cochin sur l'hypersensibilité électromagnétique


Une étude bien mystérieuse, un prétexte pour ne pas agir ?
Communiqué de presse - le 24 mai 2013
Annoncé par Marisol Touraine (1), Ministre de la Santé le 25 avril à l'Assemblée Nationale, le protocole de l'étude Cochin devait être rendu public sur Internet.
A la date du 21 mai, l'étude est effectivement référencée sur le site américain clinicaltrials.gov (2) sous forme de protocole résumé.
Le collectif des Electrosensibles de France estime que cela ne répond pas à ce qu'il réclame en vain depuis des mois, à savoir le protocole complet de l'étude, qui a servi à autoriser l'étude.
Pour Manuel Hervouet, cofondateur du collectif, cette publication partielle est encore un moyen de répondre à côté de la question posée: « Les informations délivrées sur internet sont une traduction en anglais de ce que nous savions déjà. Nous demandons le protocole complet pour connaître la justification de l'étude avec sa bibliographie, ses objectifs, les méthodes et matériels utilisés, le traitement des données... Le but de l'étude est d'évaluer la prise en charge mais on ne connaît ni la nature de cette prise en charge ni les critères pour évaluer un éventuel bénéfice. Nous ne sommes pas chercheurs, certes, mais nous avons toute légitimité pour ouvrir le débat sur ces questions. Le minimum, c'est de pouvoir disposer de ces informations cruciales. »
Sophie Pelletier, chargée de la veille scientifique au collectif s'interroge : « Comment pourrions-nous faire confiance, sur un sujet aussi sensible, à une telle étude, basée sur des a priori biaisés (4), qui fait tant de mystère sur son contenu réel et dont le conseil scientifique, du peu que nous en sachions, peine à se réunir ? » Elle poursuit :«  Nous avions identifié dès les premières présentations de l'étude des biais dans sa conception (3), qui n'ont jamais été corrigés ni même admis par l'équipe. Ces biais sont aujourd'hui confirmés par les informations qui nous remontent du terrain. Comment, par exemple, va-t-on traiter le cas de cette patiente, rendue hypersensible à cause d'un transformateur électrique alors que le boîtier de mesure ne prend pas en compte ces fréquences ? ».
Pour Janine Le Calvez, présidente de Priartem, la situation doit être éclaircie : « Les électrosensibles mais aussi l'ensemble de la société, ont besoin de transparence et de confiance sur cette question. Nous avions fait des propositions au Ministre de la santé dès le lancement de l'étude pour garantir déontologie et concertation aussi bien dans le domaine de la recherche que de la prise en charge, sans réponse à ce jour. »
Le Collectif des Electrosensibles de France et Priartem demandent à ce que toute la lumière soit faite sur l'étude Cochin, notamment par la communication  du protocole complet et la convention signée avec les partenaires de l'étude, et que les pouvoirs publics cessent de se réfugier derrière cette étude qui n'a jamais été conçue de manière à faire progresser la connaissance mais sert à enterrer le problème jusqu'en 2016 au moins.
Nous demandons que sans attendre, un plan d'actions transparent et concerté soit engagé pour répondre aux situations d'urgence et éviter que de nouvelles personnes soient atteintes.
Le Collectif des Electrosensibles de France et Priartem

Dossier :

  • Courrier à Madame la ministre de la Santé - Marisol TOURAINE - un Plan d'action concerté pour la prise en charge et la prévention de l'hypersensibilité électromagnétique : Cliquez pour ouvrir
  • Courrier APHP - Etude Cochin, pour une mise en œuvre d'un processus transparent et concerté, communication du document ayant servi de base à l'autorisation de l'étude : Cliquez pour ouvrir
  • Courrier à l'INVS - Prévalence, incidence, fardeau de l'hypersensibilité électromagnétique : Cliquez pour ouvrir

mardi 21 mai 2013

Antennes relais : PRIARTéM communiqué de presse du 21 mai 2013


Paris, le 21 mai 2013 : Demain, dans un village des Flandres quatre agences sanitaires vont faire le déplacement jusqu'à Rexpoëde pour (s)expliquer. C'est une promesse qui avait été faite à Priartém en octobre dernier, dans les bureaux de l'INVS. En effet, suite à deux cas de cancers chez des enfants dans l'école Victor Hugo de Rexpoëde, un refus avait été opposé à la demande d'enquête sanitaire formulée par Priartem.
L’explication donnée à ce refus portait sur l’absence d’outils d’investigation efficaces pour analyser ce type de situation. Ce n’était pas du tout l’interprétation qu’en ont faite les autorités locales qui ont traduit ce refus comme une négation de l’existence d’un risque. D’où la nécessité de clarifier la position des agences tant vis-à-vis des autorités locales que vis-à-vis des parents d’élèves de l’école.
C’est pour ce faire que l'Institut de Veille Sanitaire (INVS), l'Agence Nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), la Cire Nord – Picardie (Cellule Inter-régionale d'Epidémiologie) et l'Agence Régionale de Santé (ARS) du Nord – Pas-de-Calais se déplacent à Rexpoëde pour une réunion publique.
Cette réunion revêt un caractère exceptionnel et nous saluons la venue de ces agences dans le Nord de la France et l'organisation de cette réunion publique qui marque la mise en place d'un processus de transparence avec la population.
Janine Le Calvez et Isabelle Cari représenteront Priartem à cette réunion aux côtés de Joël Becuwe, Président de l'association Rexpoëde Environnement.
"Nous y rappellerons, précise Janine Le Calvez, Présidente de Priartem, que Rexpoëde n’est pas un cas unique puisque notre association en a recensé 6 en France et que si un cas est difficile à interpréter, la comparaison de 6 cas peut sans doute apporter des éléments d’explication. Nous avons d’ailleurs demandé à l’ANSES et à l’INVS de travailler sur cette comparaison. Nous y rappellerons également que le doute et l’incertitude doivent profiter à la santé publique et que la présence des trois opérateurs de téléphonie mobile à proximité de l’école pouvant être légitimement suspectée comme étant à l’origine des cas de cancer apparus, leur éloignement doit être immédiatement étudié".
Isabelle Cari souligne que nos amis américains se heurtent au même problème : « "la communauté est trop petite" a été la réponse donnée à une demande d’enquête identique à la nôtre. Aussi, des sénateurs américains se sont saisis de la question et proposent une loi sur les clusters (agrégats spatio-temporels en anglais) afin que le gouvernement coordonne ses agences et mobilise des équipes de chercheurs pour avancer dans la compréhension des clusters et dans les possibilités d’y remédier. Peut-être un exemple à suivre…»
Nous attendons donc un débat constructif qui permette d’avancer tant sur le cas Rexpoëde que sur la question sanitaire posée.
Réunion publique mercredi 22 mai 18h, salle Colette Bel à Rexpoëde (59122)    


Contact presse :
Janine Le Calvez, Présidente Priartem : 01.42.47.81.54
Isabelle Cari, correspondante régionale Nord – Pas-de-Calais Priartém – Tél. 03.20.55.68.93
isabelle.cari@priartem.fr



PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous


vendredi 17 mai 2013

Le WiFi dans les établissements scolaires vu par la ministre de la réussite éducative Mme Pau-Langevin

Communiqué de l'association Priartém
Lors de notre précédente newsletter, nous avons relaté la campagne que nous avons lancée contre l'introduction des tablettes tactiles dans les écoles, non pas parce que nous serions hostiles à tout progrès, mais parce que ces tablettes induisent une utilisation massive du WiFi dans les classes et vont donc exposer des enfants de plus en plus jeunes à un environnement potentiellement dangereux pour leur développement. Pas de réponse officielle du ministre de l'éducation nationale mais aux interrogations des journalistes qui, suite à notre communiqué de presse ont interrogé son cabinet, celui-ci a fait répondre qu'il fallait favoriser les connexions "filaires". (Le Parisien du 19/03/2013). Dont acte. Sauf que les tablettes ne sont pas prévues pour cela !!!

Nous avons, en revanche, reçu une réponse tout à fait édifiante de la ministre de la réussite éducative, Madame Pau-Langevin. Celle ci, en effet, reconnaît l'existence d'une controverse scientifique, mais considère qu'il est essentiel d'accepter les réalités technologiques de son temps. On a dépassé là les frontières du scientisme pour passer à une croyance aveugle dans le progrès technologique quels que soient les risques qui y sont associés. "Les réalités technologiques de [notre] temps " permettent de construire des automobiles qui filent à 250 ou 300 km/h. Au nom de celles-ci, doit-on suspendre les limitations de vitesse réglementaires ? Cet exemple montre l’irrationalité de ce type de raisonnement. C'est pourtant au nom de ce type de raisonnement qu'on soutient les OGM, qu'on a laissé mettre du Bisphénol A dans les biberons, des phtalates dans les produits pour bébés…
Lettre, ci-jointe.


Pendant ce temps outre Atlantique, l'Académie Américaine de Médecine (AAEM) stipule qu'"une technologie plus sûre, comme l'utilisation de connexions filaires, est fortement recommandée dans les écoles".
Lire la suite.

PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
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jeudi 16 mai 2013

Grenelle des Ondes – Rien ne va plus : les dés sont pipés


Robin des toits en appelle aux parlementaires

A l’attention de Mesdames et Messieurs les parlementaires :   
Madame Leila AICHI,
Madame Laurence ABEILLE,
Madame Isabelle ATTARD,
Madame Marie-France BEAUFILS,
Madame Marie-Christine BLANDIN,
Madame Valérie BOYER,
Madame Chantal JOUANNO, ancienne ministre à l’initiative du COMOP
Madame Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, ancienne ministre ayant eu la charge du COMOP puis du COPIC
Madame Bérengère POLLETI,
Madame Laurence ROSSIGNOL,
Madame Marie-Jo ZIMMERMANN,
Monsieur Denis BAUPIN,
Monsieur Patrick BLOCHE,
Monsieur Alain BOCQUET,
Monsieur Jean-Pierre BRARD,
Monsieur François BROTTES, ancien président du COMOP,
Monsieur André CHASSAIGNE,
Monsieur Pascal CHERKI,
Monsieur Jean-David CIOT,
Monsieur Jean DESESSARD,
Monsieur Jacques KOSSOWSKI,
Monsieur Lionnel LUCA,
Monsieur Noël MAMERE.

Mesdames, Messieurs les parlementaires,

Comme vous le savez Le Grenelle des Ondes/COPIC (comité d'expérimentation sur l'abaissement de l'exposition du public) mis en place en 2009 lors de la précédente législature est une étape majeure dans l’important débat de société autour de la question des risques pour la santé posés par les ondes électromagnétiques émises par les antennes relais et les téléphones portables.

Les résultats de cette expérimentation pourraient permettre une évolution significative de la législation en vigueur.
Ces expérimentations qui avaient été annoncées et installées par Mme JOUANNO, Secrétaire d’État à l’Écologie, correspondaient à une demande initiale de Robin des Toits.
Régulièrement, lorsque des membres du gouvernement sont interrogés sur le sujet, ils déclarent attendre les résultats du COPIC; c'est dire assez l'importance qu'ont prise ces expérimentations.

Pendant un an, Robin des Toits, avec les autres parties prenantes : Etat, collectivités, opérateurs, associations, a participé à l'élaboration d'un cahier des charges accepté par tous.
Nous participons activement au COPIC depuis trois ans maintenant.

Malheureusement, depuis janvier 2013, l'ANFR (Agence Nationale des Fréquences) qui pilote ces expérimentations ne respecte plus ce cahier des charges. Elle a modifié les données de ces expérimentations - à la grande satisfaction des opérateurs - et elle souhaite modifier les résultats d'une expérimentation pourtant déjà menée à Grenoble avec l'assentiment général. Il nous apparaît que l'objectif est de disqualifier le seuil d'expérimentation de 0,6 V/m, seuil retenu dans le cadre de ces expérimentations, et recommandé notamment par le Conseil de l'Europe dans sa Résolution 1815.

Nous en appelons donc à un "Arbitrage Parlementaire"; nous vous demandons instamment de bien vouloir nous auditionner contradictoirement ou alternativement avec l'ANFR - comme vous le souhaiterez.
Vous serez appelé-e-s à vous prononcer sur l'exposition du public aux champs électromagnétiques artificiels d'ici Juillet 2013 probablement et vous devez pouvoir le faire avec des résultats d'expérimentations qui ne fassent pas polémique et qui ne soient pas biaisés.

Robin des Toits vous remercie d’avance de votre participation
et reste à votre disposition pour tout complément d'information.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

Ondes: Robin des Toits en appelle aux parlementaires

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

mercredi 15 mai 2013

Antennes relais : REXPOËDE OÙ EN EST-ON ?


REXPOËDE OÙ EN EST-ON ?
Le 30 novembre 2010, suite à deux cas de cancers diagnostiqués chez des enfants fréquentant l'école Victor Hugo de Rexpoëde, dont une enfant décèdera en 2009, les associations Rexpoëde Environnement et Priartem saisissent la Direction Générale de la Santé pour qu'une enquête sanitaire soit mise en œuvre à l'école primaire de Rexpoëde. Plus d'infos sur la demande sur le site de Priartem
Le Conseil Municipal de Rexpoëde et les parents de Valentin (un des enfants touchés) se mobilisent et soutiennent la demande d'enquête sanitaire. Viendra ensuite le soutien de l'association des parents d'élèves
En effet, de fortes suspicions pèsent sur les antennes-relais situées à moins de 100 mètres de l'école. Priartem s’est déjà battue avec les parents d’élèves de Saint-Cyr l’École puis avec ceux deRuitz, où des cas de cancers infantiles avaient été diagnostiqués, pour que soient menées des enquêtes sanitaires et que soient démontées les antennes de téléphonie situées, dans le premier cas, sur l’école, et, dans le deuxième, à très grande proximité.
La téléphonie mobile est sans doute l’application technologique qui s’est développée le plus rapidement. En une dizaine d’années on est passé de quelques milliers d’utilisateurs de portables à des dizaines de millions. Dans le même temps nos campagnes et nos villes se sont couvertes d’antennes-relais. Aujourd'hui, plus personne ne peut dire "le risque n'existe pas" et chacun, à son niveau devra en tenir compte.
L'association Priartem créée en octobre 2000, se bat depuis cette date pour que le développement de la téléphonie mobile et plus largement de l'ensemble des technologies "sans fil" se fasse dans le respect des conditions de vie et de santé de tous. Dans notre engagement nous nous intéressons tout particulièrement à la protection des enfants.
En effet, dans ce dossier où règne une controverse féroce, un élément fait consensus : la vulnérabilité toute particulière des enfants : leur système nerveux central est en formation, leur boîte crânienne est moins épaisse et leur cerveau absorbe nettement plus de rayonnements électromagnétiques que celui des adultes.
Plus d'un an après notre demande initiale, le 7 décembre 2011, nous avons reçu du Directeur de l'Agence Régionale de Santé Nord – Pas-de-Calais, un courrier nous informant du refus des autorités de santé de lancer l’enquête demandée. Comme le montre le tableau ci-joint, cette réponse correspond à la nouvelle stratégie de l’Etat : "ne pas chercher pour ne pas trouver" et si on ne trouve pas "ne pas bouger".
En octobre 2012, les ONG Priartem, Agir pour l'Environnement, Le Lien et le Collectif des Electrosensibles de France sont reçues à l'Institut de Veille Sanitaire (INVS). La position de l'INVS a été clairement précisée lors de cette réunion : la réponse négative à notre demande ne portait pas sur l'existence ou non d'un risque — lequel n'est donc, en aucun cas, rejeté a priori — mais exprimait une impuissance à cerner à partir des outils existants des signaux faibles et incertains.
Autant nous pouvons comprendre que les questions posées sont complexes et n'ont pas encore trouvé de réponses satisfaisantes, autant nous ne pouvons accepter que l'on se contente d'un statut quo. Car pendant ce temps, les enfants continuent à fréquenter l’école sans qu’aucun diagnostic global sur l’état de leur santé n’ait été effectué. En tant que citoyen, cette inaction des autorités sanitaires est inacceptable, nous ne doutons pas qu’en tant que parents, elle le soit encore plus.
Or, nous sommes convaincus qu'il est possible de rechercher les solutions techniques les moins susceptibles d'impacter l'école et que rien n'oblige véritablement les opérateurs à être installés à une telle proximité de l'école. Nous avons demandé à Monsieur le Préfet du Nord d'organiser, en tant que médiateur, une réunion de l'ensemble des acteurs dans ce dossier de Rexpoëde. Nous avons été reçu par le Sous-Préfet de Dunkerque en décembre 2012 qui nous a rétorqué que "déplacer les antennes prouverait que ce sont elles qui sont coupables, alors on préfère ne rien penser, ne rien voir et ne rien entendre.

Dans un tel contexte, et après encore plusieurs mois d'attente, nous attendons avec impatience la réunion publique qui se tiendra le mercredi 22 mai 2013 à 18h à Rexpoëde pour écouter les agences en charge de la Santé Publique au niveau national et régional, à savoir l'Institut de Veille Sanitaire (INVS) accompagnée de l'Agence Nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) et l'Agence Régionale de Santé (ARS) du Nord – Pas-de-Calais.

Concentration de cas de cancer dans des écoles exposées ou ayant été exposées aux rayonnements d’antennes de téléphonie mobile
(Les cas sont présentés dans l’ordre où sont apparus les problèmes)

Ville
Pathologies
Installation radiotéléphonie
Enquête sanitaire
Antennes démontées
Saint-Cyr l’École

3 cas de cancer du cerveau

Antennes situées sur l’école (SFR –FT)

Oui

Oui
Ruitz

2 cas de cancer du cerveau
1 cas de leucémie

Pylône situé à quelques mètres de l’école maternelle (SFR)

Oui

Oui
Lyon

1 cas de leucémie
1 cas de lymphome

Antennes situées à quelques mètres et donnant sur la classe (SFR)

Non ?

Oui
Draveil

2 cas de cancer du cerveau
1 cas de leucémie

Pylône situé à quelques mètres de l’école

Oui

Non (une préenquête a été initiée et a conclu à l’inutilité de poursuivre les investigations) 

Rexpoëde

2 cas de cancer du cerveau

Orange, SFR et Bouygues installés à quelques dizaines de mètres de l’école

Non

Non
(refus de l’INVS)
Villeneuve de la Raho

1 cas de cancer du cerveau
1 cas de cancer du cavum
1 cas de leucémie

Orange, SFR et Bouygues installés sur le Château d’eau à 180 mètres de l’école

Non

Non
(refus de l’INVS)

Source : Priartem
PRIARTéM - Association Loi de 19015, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 ParisTél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous




Communiqué de Robin des toits : Projet de loi 1002 présentée par le Député Jean David Ciot


Présentée par le député Jean-David CIOT, une nouvelle proposition de loi relative à la régulation de l'installation des antennes-relais de téléphonie mobile a été enregistrée à la Présidence de l'Assemblée nationale le 24 Avril 2013.
Mais cette proposition a été renvoyée à la commission des affaires économiques, à défaut de constitution d'une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.

Il est néanmoins absolument nécessaire de soutenir en masse cette proposition.

L'association nationale Robin des Toits vous invite donc à écrire, encore et encore, sans relâche, à tous vos députés pour les exhorter à défendre cette proposition, mais également pour les inciter à élargir la législation au contrôle du déploiement de tous les appareils utilisant les technologies de télécommunications sans fil, en demandant :

- qu'un interrupteur d'activation et désactivation du WIFI soit obligatoire sur toutes les "box" distribuées dans le commerce. 
Le WIFI domestique, massivement développé, constitue aujourd'hui une source majeure d'exposition de la population.

- l'apposition d'un logo sur tous les appareils fonctionnant par télécommunications sans fil afin d'alerter la vigilance des consommateurs au moment de l'achat.

- que la transmission des données des compteurs électriques LINKY, d'eau et gaz télérelevés - compteurs dits "intelligents" - transite obligatoirement par la fibre optique ou par le réseau cuivre existants.

Il faut leur rappeler que bien que leurs niveaux de champs soient parfois assez “faibles”, les émissions WIFI et DECT sont d’une assez forte toxicité sanitaire.
Qu'il est difficile de s’en protéger par les moyens traditionnels de type blindage.
Et qu'en conséquence, la seule solution serait de ne pas les utiliser et de les remplacer par des solutions filaires bien plus fiables techniquement et sans danger constaté.

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai