Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

mercredi 15 mai 2013

Antennes relais : REXPOËDE OÙ EN EST-ON ?


REXPOËDE OÙ EN EST-ON ?
Le 30 novembre 2010, suite à deux cas de cancers diagnostiqués chez des enfants fréquentant l'école Victor Hugo de Rexpoëde, dont une enfant décèdera en 2009, les associations Rexpoëde Environnement et Priartem saisissent la Direction Générale de la Santé pour qu'une enquête sanitaire soit mise en œuvre à l'école primaire de Rexpoëde. Plus d'infos sur la demande sur le site de Priartem
Le Conseil Municipal de Rexpoëde et les parents de Valentin (un des enfants touchés) se mobilisent et soutiennent la demande d'enquête sanitaire. Viendra ensuite le soutien de l'association des parents d'élèves
En effet, de fortes suspicions pèsent sur les antennes-relais situées à moins de 100 mètres de l'école. Priartem s’est déjà battue avec les parents d’élèves de Saint-Cyr l’École puis avec ceux deRuitz, où des cas de cancers infantiles avaient été diagnostiqués, pour que soient menées des enquêtes sanitaires et que soient démontées les antennes de téléphonie situées, dans le premier cas, sur l’école, et, dans le deuxième, à très grande proximité.
La téléphonie mobile est sans doute l’application technologique qui s’est développée le plus rapidement. En une dizaine d’années on est passé de quelques milliers d’utilisateurs de portables à des dizaines de millions. Dans le même temps nos campagnes et nos villes se sont couvertes d’antennes-relais. Aujourd'hui, plus personne ne peut dire "le risque n'existe pas" et chacun, à son niveau devra en tenir compte.
L'association Priartem créée en octobre 2000, se bat depuis cette date pour que le développement de la téléphonie mobile et plus largement de l'ensemble des technologies "sans fil" se fasse dans le respect des conditions de vie et de santé de tous. Dans notre engagement nous nous intéressons tout particulièrement à la protection des enfants.
En effet, dans ce dossier où règne une controverse féroce, un élément fait consensus : la vulnérabilité toute particulière des enfants : leur système nerveux central est en formation, leur boîte crânienne est moins épaisse et leur cerveau absorbe nettement plus de rayonnements électromagnétiques que celui des adultes.
Plus d'un an après notre demande initiale, le 7 décembre 2011, nous avons reçu du Directeur de l'Agence Régionale de Santé Nord – Pas-de-Calais, un courrier nous informant du refus des autorités de santé de lancer l’enquête demandée. Comme le montre le tableau ci-joint, cette réponse correspond à la nouvelle stratégie de l’Etat : "ne pas chercher pour ne pas trouver" et si on ne trouve pas "ne pas bouger".
En octobre 2012, les ONG Priartem, Agir pour l'Environnement, Le Lien et le Collectif des Electrosensibles de France sont reçues à l'Institut de Veille Sanitaire (INVS). La position de l'INVS a été clairement précisée lors de cette réunion : la réponse négative à notre demande ne portait pas sur l'existence ou non d'un risque — lequel n'est donc, en aucun cas, rejeté a priori — mais exprimait une impuissance à cerner à partir des outils existants des signaux faibles et incertains.
Autant nous pouvons comprendre que les questions posées sont complexes et n'ont pas encore trouvé de réponses satisfaisantes, autant nous ne pouvons accepter que l'on se contente d'un statut quo. Car pendant ce temps, les enfants continuent à fréquenter l’école sans qu’aucun diagnostic global sur l’état de leur santé n’ait été effectué. En tant que citoyen, cette inaction des autorités sanitaires est inacceptable, nous ne doutons pas qu’en tant que parents, elle le soit encore plus.
Or, nous sommes convaincus qu'il est possible de rechercher les solutions techniques les moins susceptibles d'impacter l'école et que rien n'oblige véritablement les opérateurs à être installés à une telle proximité de l'école. Nous avons demandé à Monsieur le Préfet du Nord d'organiser, en tant que médiateur, une réunion de l'ensemble des acteurs dans ce dossier de Rexpoëde. Nous avons été reçu par le Sous-Préfet de Dunkerque en décembre 2012 qui nous a rétorqué que "déplacer les antennes prouverait que ce sont elles qui sont coupables, alors on préfère ne rien penser, ne rien voir et ne rien entendre.

Dans un tel contexte, et après encore plusieurs mois d'attente, nous attendons avec impatience la réunion publique qui se tiendra le mercredi 22 mai 2013 à 18h à Rexpoëde pour écouter les agences en charge de la Santé Publique au niveau national et régional, à savoir l'Institut de Veille Sanitaire (INVS) accompagnée de l'Agence Nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) et l'Agence Régionale de Santé (ARS) du Nord – Pas-de-Calais.

Concentration de cas de cancer dans des écoles exposées ou ayant été exposées aux rayonnements d’antennes de téléphonie mobile
(Les cas sont présentés dans l’ordre où sont apparus les problèmes)

Ville
Pathologies
Installation radiotéléphonie
Enquête sanitaire
Antennes démontées
Saint-Cyr l’École

3 cas de cancer du cerveau

Antennes situées sur l’école (SFR –FT)

Oui

Oui
Ruitz

2 cas de cancer du cerveau
1 cas de leucémie

Pylône situé à quelques mètres de l’école maternelle (SFR)

Oui

Oui
Lyon

1 cas de leucémie
1 cas de lymphome

Antennes situées à quelques mètres et donnant sur la classe (SFR)

Non ?

Oui
Draveil

2 cas de cancer du cerveau
1 cas de leucémie

Pylône situé à quelques mètres de l’école

Oui

Non (une préenquête a été initiée et a conclu à l’inutilité de poursuivre les investigations) 

Rexpoëde

2 cas de cancer du cerveau

Orange, SFR et Bouygues installés à quelques dizaines de mètres de l’école

Non

Non
(refus de l’INVS)
Villeneuve de la Raho

1 cas de cancer du cerveau
1 cas de cancer du cavum
1 cas de leucémie

Orange, SFR et Bouygues installés sur le Château d’eau à 180 mètres de l’école

Non

Non
(refus de l’INVS)

Source : Priartem
PRIARTéM - Association Loi de 19015, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 ParisTél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous




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Vous pouvez donner votre avis sur le problème des antennes relais et les ondes électromagnétiques émises par celles-ci.
Toutes suggestions sur le blog ou sur nos actions seront les bienvenues.
Le Collectif Aubagnais

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


*

Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai