Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

mercredi 10 avril 2013

Hypersensibilité électromagnétique : Madame la Ministre de la Santé, agissez, il y a urgence !


9 avril 2013 - par Priartem, Agir pour l’Environnement, Collectif des Electrosensibles de France, Le Lien - Thème : La gestion des risques : Hyperélectrosensibilité
Communiqué de presse - le 9 avril 2013


A l’appui de la toute récente actualité concernant l’étude des radiofréquences et de plusieurs grandes avancées à l’international reconnaissant l’existence de l’hypersensibilité électromagnétique, le Collectif des Electrosensibles de France et Priartem, soutenus par Le Lien et Agir pour l’Environnement, réitèrent leurs demandes à la Ministre de la Santé concernant l’urgence d’une prise en charge adaptée et concertée

Tout d’abord, la toute récente étude française menée par l’Université d’Amiens et par l’INERIS montre des effets possibles des radiofréquences sur le sommeil même à faible niveau d‘exposition (1 V/m). « Normalement, à ce niveau d’exposition aux ondes, qui est très faible, il ne devrait rien se passer, s’étonne encore René de Sèze, de l’unité de toxicologie de l’Ineris. Or, l’organisme est bousculé, ce qui dénote sûrement un effet cumulatif de l’exposition aux ondes » 1. « Ces résultats sont cohérents par rapport à ce que vivent les personnes électrosensibles dont le sommeil est de mauvaise qualité ou brutalement interrompu en pleine nuit » note Sophie Pelletier, en charge de la veille scientifique au Collectif des Electrosensibles de France et référente EHS à Priartem. « Pour la première fois, le dogme qui veut que les radiofréquences n’auraient pas d’effet néfaste à faible dose ni d’effet cumulatif est remis en cause par une équipe jusqu’à présent très sceptique sur de tels effets ».
Sur le plan de la reconnaissance, des nouvelles importantes nous viennent de l’étranger. En Allemagne, la toute récente classification des maladies reconnaît désormais l’électrosensibilité comme étant en relation avec l’environnement physique (radiations). En Australie, l’employeur d’un chercheur électrosensible dont l’état a été aggravé à cause de son travail a été définitivement condamné à l’indemniser.
Ces deux récentes décisions complètent des initiatives plus anciennes comme l’intégration en 2000 de l’intolérance électromagnétique dans la classification des maladies et troubles d’origine professionnelle des pays nordiques ou encore les réflexions sur l’accessibilité des lieux publics pour les personnes atteintes aux Etats-Unis en 2005.
Pourquoi rien de tel en France ? L’an dernier, la justice a finalement condamné un opérateur de téléphonie mobile à indemniser une personne devenue électrosensible pour la protection de son logement. Plusieurs personnes ont par ailleurs été reconnues comme travailleurs handicapés pour cause d’hypersensibilité électromagnétique. Mais cela reste sporadique et donc aléatoire pour les personnes électrosensibles ce qui n’est pas acceptable.
Pour Manuel Hervouet, cofondateur du collectif des Electrosensibles de France, le silence du Ministère de la Santé devient assourdissant : « Nous avons écrit à plusieurs reprises2 pour faire des propositions, nous avons été reçus par un conseiller mais aucune solution satisfaisante ne nous est proposée. Nous demandons au gouvernement de nommer un référent ayant autorité et légitimité pour établir un plan d’actions concerté avec les associations ».
Janine Le Calvez, présidente de Priartem explique « Les électrosensibles sont des sentinelles qui annoncent les problèmes sanitaires à venir si rien n’est fait. Nous demandons la réduction de l’exposition de toute la population ainsi qu’une réelle prise en charge des personnes malheureusement touchées, le Ministère de la Santé doit s’engager ! ».
Une plate-forme de revendications portée par les associations signataires est disponible pour servir de base aux réflexions. Celle-ci prend le soin de traiter la question dans toutes ses dimensions, qu’elles soient temporelles (situations d’urgence, actions à court terme ou plus long terme), scientifiques (nécessité de connaissance pour prévenir et guérir) ou encore sociétales (nécessité d’une reconnaissance des personnes atteintes et gestion de leurs situations dans une perspective de garantie des droits des personnes).
Il y a urgence à mobiliser des solutions pour les personnes déjà atteintes, se trouvant dans des situations précaires pour leur santé et leur insertion sociale et professionnelle et pour prévenir l’apparition de nouveaux cas.


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Vous pouvez donner votre avis sur le problème des antennes relais et les ondes électromagnétiques émises par celles-ci.
Toutes suggestions sur le blog ou sur nos actions seront les bienvenues.
Le Collectif Aubagnais

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai