Des accords secrets existent entre des opérateurs de téléphonie mobile et des préfectures.
Pour le Principe de Précaution le Collectif Aubagnais demande le démantèlement des 17 antennes relais implantées sur le toit de l'immeuble HLM "le Général" avenue de verdun - C'est une question de Santé Publique - Notre combat est légitime nous voulons que l’évolution de notre société puisse se faire en accord avec la santé publique
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.
samedi 26 mai 2012
Antennes relais : Les commissariats prennent le relais des HLM !
Des accords secrets existent entre des opérateurs de téléphonie mobile et des préfectures.
mercredi 23 mai 2012
Pétition "stopper le lobbying des opérateurs téléphonistes"
- le matin entre 8h00 et 9h00 (sauf samedi et dimanche matin)
- le soir entre 21h00 et 22h00
dimanche 20 mai 2012
La Guerre des Ondes
jeudi 10 mai 2012
Antennes Relais - Résultat de notre enquête sanitaire
jeudi 3 mai 2012
La Protection contre les radiofréquences en conflit avec la science
Extrait
Hyper-sensibilité Electromagnétique
C’est une réelle tragédie que des milliers de personnes en Europe, qui souffrent des effets des champs électromagnétiques, soient considérées comme des malades mentaux seule- ment parce que la science n’est pas encore capable de comprendre les mécanismes de base conduisant à l’électrosensibilité. Les médecins, qui sont consultés par de plus en plus de personnes ayant des symptômes qui ne s’apparentent à aucune maladie connue, se sentent aussi démunis que leurs patients qui souffrent a un point tel que leur désarroi ne peut plus être ignoré.Ceci devrait être une raison suffisante pour que nos sociétés prennent soin de ces personnes qui s’efforcent de mener une vie aussi normale que possible.
Depuis des décennies, les politiques et l’industrie ont dominé la recherche sur les champs électromagnétiques, poussés par leurs intérêts économiques. C’est la raison pour laquelle notre connaissance actuelle sur les risques des champs électromagnétiques pour l’homme et la nature est très pauvre, comparée à d’autres risques environne- mentaux pourtant plus aléatoires.Ces raccourcis de la science dus au fait que la recherche ne se concentre pas sur les besoins humains mais sur les profits économiques, est la principale raison de vos problèmes [des personnes électro-hypersensibles, ndt].Ce déficit de la science entraîne une profonde injustice envers tous ceux qui souffrent des champs électromagnétiques artificiels et personne n’en prend la responsabilité.
Aussi longtemps que l’industrie et les politiques arriveront à défendre l’idée qu’il n’y a pas d’effets biologiques significatifs en-dessous des limites d’exposition en vigueur, la situation légale des ectro-sensibles ne changera probablement pas. Ce qu’il nous faut, c’est une recherche indépendante, financée par des structures privées si les gouvernements refusent de le faire. La situation actuelle, dans laquelle les bénéficiaires de cette technologie font d’énormes profits, tandis que les conséquences ne sont supportées que par une minorité sacrifiée, est absolument intolérable.
Conclusion
Au regard de mon expérience passée avec l’industrie des télécommunications sans fil, les politiques et les médias, alors que j’organisais et coordonnais le projet REFLEX, je peux affirmer aujourd’hui qu’en toutes circonstances, la vérité sur les effets biologiques des rayonnements RF est largement étouffée par tous les moyens – y compris des moyens criminels. Or il est nécessaire en démocratie que la loi, le droit et la vérité soient au-dessus du pouvoir et de ceux qui le possèdent. Dans notre cas, cette règle a été outrageusement violée au détriment de la population. Il n’y a rien de plus important dans nos sociétés démocratiques que d’insister pour que cette règle soit respectée. Voilà ce que je vous encourage vivement à faire.
Professeur Franz Adlkofer
Traduction de l’anglais : Yves et Christiane Mouremble
mercredi 2 mai 2012
L' OMS disposait de preuve !
L' Artac appelle à l'action publique !
Impacts sanitaires des pollutions : 18/04/2011
L’Appel de Paris a-t-il été entendu des pouvoirs publics ? Pour le Pr Belpomme, instigateur de cette déclaration historique sur les dangers sanitaires des pollutions chimiques, la réponse est sans appel. « Non. Le gouvernement ne veut toujours pas voir la vérité en face, et admettre que les pollutions environnementales sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques. » Si le mouvement impulsé en 2004 par le cancérologue est aujourd’hui mondialement reconnu, tant par la sphère médico-scientifique que par la société civile, sa traduction concrète dans les politiques de santé publique et de lutte contre les pollutions environnementales avance en revanche lentement. Pourtant, les programmes de recherche scientifique en la matière se multiplient, et démontrent inlassablement les méfaits d’une exposition prolongée à de nombreuses substances chimiques. En particulier chez le fœtus, qui « garde en mémoire » l’intoxication qu’il subit pendant la grossesse.
Le fœtus particulièrement vulnérable aux pollutions
La prévention auprès des femmes enceintes est donc primordiale aux yeux des scientifiques. Réunis lors du troisième colloque international de l’Appel de Paris les 12 et 13 avril derniers, organisé par l’Artac*, médecins, pédiatres, toxicologues, biologistes et cancérologues du monde entier ont tous insisté sur la très grande vulnérabilité du fœtus aux expositions chimiques. « La théorie des origines fœtales de nombreuses maladies chroniques, qu’il s’agisse de l’asthme, du diabète de type 1, de maladies neurodégénératives, de l’obésité ou de cancers, fait aujourd’hui consensus », résume Ernesto Burgio, pédiatre italien président du comité scientifique de l’ International Society of Doctors for Environment. Patrick Fénichel, endocrinologue niçois, en veut pour preuve une étude réalisée auprès de jeunes hommes, dont certains étaient atteints d’un cancer des testicules. « Quand nous avons testé la présence de substances toxiques dans le sang de ces hommes, aucun d’entre eux ne présentaient de taux anormal. Nous avons donc renouvelé l’expérience auprès de leurs mères. Chez toutes celles dont les enfants étaient cancéreux, les taux de substances toxiques se sont révélés bien plus élevés que chez les mères des sujets sains. » Car selon de nombreuses études scientifiques, les cellules souches du fœtus gardent en mémoire l’intoxication subie par la mère. Ce phénomène multiplie alors le risque d’émergence d’une maladie chronique à l’âge adulte.
Quant aux expériences réalisées sur des rats et souris de laboratoire, elles démontrent systématiquement une recrudescence de cancers et autres maladies chroniques chez les animaux exposés à des perturbateurs endocriniens (BpA et pesticides en tête), en particulier quand cette exposition a lieu au stade fœtal. « Nous avons déjà démontré par le passé que les phénomènes observés chez le rat et la souris pouvaient également l’être chez l’homme », souligne Ana Soto, Professeur en biologie cellulaire à la Faculté de Médecine de Boston. « Nous disposons aujourd’hui de suffisamment de preuves scientifiques pour élaborer des actions préventives dignes de ce nom », insiste-t-elle.
« Malgré la reconnaissance des institutions, les politiques publiques manquent d’ambition »
L’origine environnementale des maladies chroniques ne fait donc plus aucun doute. Et la grande vulnérabilité du fœtus aux pollutions chimiques est en passe d’être établie comme une théorie solide. Ces certitudes scientifiques trouvent aujourd’hui un écho auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour la première fois depuis le lancement de l’Appel de Paris, l’institution internationale s’est d’ailleurs associée au combat de l’Artac. Maria Neira, directrice du département Santé publique et Environnement, estimait alors en ouverture du colloque, que « toutes les institutions doivent porter ce message essentiel, et faire de la santé un élément moteur, un agrument de poids pour renforcer les politiques de protection de l’environnement. » À ces côtés, David Gee, conseiller scientifique principal de l’Agence européenne de l’environnement, appelait les industriels de la chimie, de la pharmacie et tous ceux susceptibles de mettre des substances potentiellement toxiques sur le marché, à reconsidérer à la hausse leurs budgets dédiés à la prévention. « L’industrie de l’amiante s’est écroulé après le scandale sanitaire qu’elle a connu…Il serait judicieux de la part des industriels de consacrer tout le budget nécessaire à la prévention et à la gestion du risque sanitaire avant de tout miser sur la commercialisation. Et les politiques publiques devraient les y inciter. »
Car aux yeux du Pr Belpomme – et de nombre de ces confères – les politiques actuelles « bradent la santé publique ». Le cancérologue juge le Plan National Santé Environnement « hors circuit », car négligeant les causes environnementales de multiples maladies. « Le gouvernement aligne les recommandations auprès des citoyens pour se dédouaner de toute action concrète. » Quant à la cohorte ELFE annoncée par la ministre de l’environnement fin février dernier (voir article lié), étude épidémiologique menées auprès de 20 000 enfants sur vingt ans, elle laisse le Professeur dubitatif. « Aucune donnée toxicologique ni biologique ne sera relevée. Et les résultats ne seront connus que dans vingt ans ! J’espère que les pouvoirs publics n’attendront pas si longtemps pour prendre des mesures ! »
* Association de Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse, présidée par le Pr Belpomme.
Anne Farthouat
Mis en ligne le : 18/04/2011
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Source : http://www.novethic.fr/novethic/planete/environnement/pollution/impacts_sanitaires_pollutions_artac_appelle_action_publique/133555.jsp
Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne
Immeuble le Général, Aubagne en Provence
la liste des décès et pathologies s'allonge !
17 antennes relais
Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998
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Le 30 Janvier 2013
La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"
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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014
Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43
Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40
Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43
Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40
Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42
Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43
Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43
Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40
Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41
Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45
Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !
Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !
Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !
Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)
Troublant non !
L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011
En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).
43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.
Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai