Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

mercredi 25 juin 2014

Selon une étude bordelaise, l'usage intensif du portable augmente le risque de tumeur cérébrale

La revue Occupationnal and Environmental Medecine vient de publier, le 9 mai, les résultats d'une enquête épidémiologique menée par une équipe française bordelaise de l'Université Bordeaux Segalen : pour les utilisateurs dits "intensifs" du téléphone portable,  le risque de tumeur cérébrale pour un cas de cancer, serait doublé.  Si les chercheurs estiment que cette étude ne leur permet toutefois pas de conclure au risque cancérigène du portable, des précautions s'imposent afin de prévenir les risques sanitaires liés aux ondes électromagnétiques.  Décryptage.

Qu'est-ce qu'un utilisateur intensif ?
Pour les scientifiques, l'"utilisateur intensif" de portable utilise son mobile plus de 15 heures par mois, soit une demi-heure par jour. Une durée largement dépassée aujourd'hui par de très nombreux utilisateurs, dont les plus jeunes, mais aussi les professionnels. 
L'étude CERENAT
Les chercheurs bordelais de l'ISPED ne sont pas des novices en la matière. Depuis 1999, ils relèvent toutes les tumeurs  primitives du système nerveux central en Gironde et ils ont entamé, en 2004, le programme CERENAT. Objectif : observer le lien possible entre tumeurs et pesticides, tumeurs et solvants, tumeurs et champs électromagnétiques, et notamment  l'exposition aux radiofréquences des téléphones portables. L'étude cas-témoinsde CERENAT porte sur une population adulte, et concerne 892  personnes saines et 447 qui souffrent d'un cancer au cerveau, dont 253 cas de gliomes (tumeurs cancéreuses cérébrales bénignes ou malignes) et 194 cas de méningiomes,  dans quatre départements de différentes régions : Gironde, Hérault, Manche et Calvados

mardi 24 juin 2014

Electrosensibilité – Enfin un début de réponse !

Communiqué de presse – 19 juin 2014
Tandis que la proposition de loi sur les ondes s’est volatilisée au Sénat (1), notre association a été reçue mercredi 18 juin, par la Direction Générale de la Santé (DGS).

Conformément à l’engagement pris lors de notre précédente rencontre, la DGS a adressé très récemment à toutes les ARS une note visant à les sensibiliser à l’hypersensibilité électromagnétique et à ébaucher des dispositifs de prise en charge.

Si elle reste timide, cette note d’information a, toutefois, le grand mérite de soulever des questions importantes que nous portons inlassablement : 

- le dispositif de mesure de l’exposition de l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR) peut être mobilisé par les ARS 

- les conditions d’hospitalisation d’une personne hypersensible aux ondes doivent concilier la demande du patient avec les contraintes liées à l’urgence, l’organisation et la sécurité des soins 

- la délivrance et le contenu de certificats médicaux attestant de l’hypersensibilité d’un patient sont laissés à l’appréciation du médecin au cas par cas, ce qui, de fait, légitime la mention de l’electrohypersensibilité dans les certificats médicaux délivrés par les médecins. 

- la DGS ne voit pas d’objection à la création de zones blanches issues de projets d’initiative privée, ce qui peut être un levier pour les projets en cours ou futurs 

- les 24 Centres de Pathologie Professionnelle (CPP) sont désignés comme centres référents pour la prise en charge

Dans une démarche constructive, face au constat du cloisonnement des différents acteurs (experts, chercheurs, cliniciens, malades, acteurs du handicap...) qui retarde la compréhension de l’hypersensibilité électromagnétique et sa prise en charge, a émergé l’idée de rencontres scientifiques multidisciplinaires impliquant les parties prenantes dont les ONG. Il a été convenu que la DGS prendra attache avec l’ANSES pour l’organisation de ces rencontres. Celles-ci permettront de valoriser la parole des malades et l’expérience des médecins et des CPP ayant réellement pris en charge des électrosensibles. Nous espérons que cela enrichira la réflexion des experts de l’Agence qui doivent remettre leur rapport en 2015.

La DGS nous a indiqué avoir engagé un travail avec la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) sur les dispositifs d’isolement aux ondes et les produits anti-ondes. Nous nous réjouissons qu’enfin les pouvoirs publics engagent une réflexion sur l’efficacité et la qualité de ces produits. En plus de sécuriser les malades appelés à s’équiper, ces conditions seront favorables au financement des équipements nécessaires par des aides publiques (ex. Maisons Départementales des Personnes Handicapées) et par les employeurs.
Le principe d’un dialogue sur les orientations de ce travail et la valorisation de notre expertise de terrain ont été acceptés.

Pour les questions laissées en suspens aussi importantes que la gestion des situations d’urgence, nous avons convenu qu’un rendez-vous avec le cabinet de la Ministre sera programmé. Par ailleurs, la DGS reprendra contact avec l’Institut National de Veille Sanitaire (INVS) pour les questions d’épidémiologie et de vigilance sanitaire.
Nous sommes satisfaits que nos efforts constants avec la DGS puissent aboutir à une première concrétisation. Un nouveau rendez-vous sera pris en octobre.

 PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

samedi 14 juin 2014

Pétition ondes électromagnétiques : Laurence Abeille, députée

Ondes: Quelques jours pour éviter le prochain scandale sanitaire! 
Les risques des ondes de téléphonie et des antennes relais sont encore mal connus mais bien réels : risques de tumeurs, risques génotoxiques, perturbations du sommeil, de la mémoire, etc. nous sommes tous concernés par ce bain d’ondes électromagnétiques et des mesures de protection sont indispensables !
L'Assemblée nationale, avec le soutien du gouvernement, avait justement voté en janvier dernier une proposition de loi sur les ondes électromagnétiques pour nous protéger avec quelques mesures de bon sens en particulier en destination des enfants, qui sont les plus menacés car leur boîte cranienne est plus fine et donc plus perméable aux ondes.
Mais le lobbying intense mené par les opérateurs de téléphonie mobile a primé : le texte a été torpillé en commission au Sénat le 10 juin dernier !
Les sénateurs socialistes, UMP et radicaux ont en effet rayé du texte de loi la concertation et l’information systématiques lors d’implantation d’antennes-relais, l’objectif de modération de l’exposition ou encore l’encadrement du wifi ! Pour les Sénateurs, la santé et la protection de la population passent après les intérêts privés des opérateurs !
Il reste quelques jours avant le vote en séance au Sénat, qui décidera du sort du texte.
Il faut nous mobiliser. Nous pouvons gagner car le gouvernement avait soutenu la version initiale et ambitieuse du texte en janvier dernier à l’Assemblée.
Nous demandons à Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, et Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au numérique, de s’engager au Sénat et d’empêcher que la loi sur les ondes électromagnétiques soit détruite. Nous comptons sur elles pour empêcher la victoire du lobby Orange/SFR/Bouygues/Free !
Signez et faites signer tout autour de vous:
Laurence Abeille, députe du Val-de-Marne
http://www.avaaz.org/fr/petition/Segolene_Royal_Ondes_Quelques_jours_pour_eviter_le_prochain_scandale_sanitaire/?tvWVedb

Envoyé par Avaaz à partir de la pétition de Laurence Abeille, députée

lundi 9 juin 2014

Téléphonie mobile : Les opérateurs partent en guerre contre les limites d’exposition inférieures à celles prônées par l’ICNIRP

PRIARTéM : Communiqué de presse daté du 05 juin 2014

Paris, le 05 juin 2014 – S’appuyant sur les données très rassurantes du très décrié pré-rapport du SCENHIR (institution d’expertise européenne), publié en février dernier, les opérateurs par l’intermédiaire de leur organisation internationale GSMA, partent en guerre contre tous les pays, régions ou villes qui ont osé édicter des restrictions d’exposition plus sévères que celles proposées par l’ICNIRP et reprises par un très grand nombre de réglementations nationales.
Dans un rapport intitulé « Arbitrary Radio Frequency Exposure Limits : Impact on 4G network deployment », les opérateurs précisent les exemples de réduction des seuils d’exposition qu’ils ont en ligne de mire : Bruxelles et ses 6 V/m, l’Italie et ses 6 V/m, la Lithuanie et ses 6,1 V/m, la Pologne et ses 7 V/m et Paris et ses 5 V/m (ou 7 V/m pour la 4G).
Ils y assurent que ces restrictions – pourtant bien peu contraignantes mais bien plus strictes que les 41, 58 et 61 V/m proposées par l’ICNIRP – vont les empêcher de développer correctement la 4G.
Faisant fi des recommandations de réduction des expositions émises par des voix scientifiques de plus en plus nombreuses, faisant fi de la classification des radiofréquences comme possiblement cancérigènes par l’OMS - qui devrait se traduire immédiatement par des mesures de précaution et de protection des populations -, les opérateurs affichent la couleur : pour que leur business se développe au mieux et rapporte le maximum d’argent, ils doivent pouvoir augmenter sans la moindre contrainte les niveaux d’exposition. Et pour faire valoir leur point de vue auprès des responsables politiques, ils brandissent l’arme de l’emploi et du chômage.
La menace d’une exposition accrue alliée au chantage à l’emploi est à peine voilée ! Les riverains d’antennes relais sont donc prévenus : si la mobilisation citoyenne n’est pas au rendez-vous, si les associations ne restent pas vigilantes, si les responsables politiques cèdent à ces menaces les expositions aux ondes électromagnétiques seront plus fréquentes et plus élevées !
Or, pour tous les riverains, les valeurs-limites que contestent aujourd’hui les opérateurs, constituent déjà des seuils extrêmement élevés et susceptibles de nuire gravement à leur santé. Les associations se battent pourtant depuis des années pour faire reconnaître l’existence d’un risque lié à une exposition prolongée aux ondes électromagnétiques et pour obtenir une baisse drastique des valeurs-limites d’exposition. Elles proposent notamment suite aux recommandations de scientifiques qui reconnaissent l’hypothèse d’un risque, de retenir 0,6 V/m comme niveau réglementaire.
En janvier 2014, les députés français ont adopté une proposition de loi fondée sur la modération des expositions. Cette proposition de loi doit être débattue le 17 juin prochain au Sénat. Il faut absolument que les sénateurs non seulement ne reviennent pas sur cette avancée mais la renforcent en y intégrant le principe ALARA – As Low As Reasonably Achievable – qui veut que l’on expose au niveau le plus bas possible.
Le « progrès » technique ne doit pas se faire au détriment des préoccupations de santé publique. La vie de nos enfants en dépend. C’est le message que doivent entendre les responsables politique et qui doit guider leur action.

Contact presse :
Janine Le Clavez, présidente de Priartém – 01 42 47 81 54
Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’Environnement – 01.40.31.02.99
 PRIARTéM - Association Loi de 1901
5, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 -

dimanche 8 juin 2014

Communiqué : Loi Ondes/Sénat une mise à mort téléphonée ?‏

La proposition de loi Ondes, initiée par la députée Laurence Abeille (EELV), votée en première lecture le 23 janvier dernier, doit être soumise au vote le 17 juin prochain au Sénat.
Mais il se passe des choses bizarres à la Haute Assemblée...

On se souvient que cette proposition de loi Ondes avait bien failli couler corps et biens à l'Assemblée Nationale et qu'il avait fallu bien de l'endurance à Laurence Abeille et au groupe EELV pour qu'elle refasse surface au bout d'un an !  ...et qu'elle soit enfin votée en première lecture...

Y aura-t-il maintenant une mise à mort "téléphonée" de la loi Ondes au Sénat ?

Les représentants de la Fédération Française des Télécoms sont venus au Sénat rendre une visite sans doute amicale, la veille de l'examen de la proposition de loi par la Commission des Affaires Économiques du Sénat.
Le lendemain la proposition de loi échappe aux écologistes alors qu'il s'agit de leur proposition qui doit être présentée dans le cadre de leur niche parlementaire !  ...et elle passe aux mains du PS...

Depuis, cette malheureuse proposition de loi subit bien des coupes et changements au hasard de son parcours au sein de la Haute assemblée. Qu'en restera-t-il ? Robin des Toits s'en inquiète.

Robin des Toits s'est fait une spécialité de rendre public les conflits d'intérêts des scientifiques "officiels" qui pondaient à la queue leu leu des rapports rassurants sur l'impact de la téléphonie mobile et du sans-fil en général sur notre santé alors qu'ils émargeaient benoîtement auprès des industriels ; va-t-il falloir que nous enquêtions sur l'indépendance des sénateurs ?

Cette loi avait été "touchée" à l'Assemblée Nationale, sera-t-elle "coulée" au Sénat ?

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

Sénat : Création d'une mission d'inspection sur l'installation des antennes-relais de radiotéléphonie mobile

Question écrite n° 09354 de M. Alain Bertrand (Lozère - RDSE)
publiée dans le JO Sénat du 21/11/2013 - page 3338

M. Alain Bertrand demande à M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie la création d'une mission d'inspection sur l'installation des antennes-relais de radiotéléphonie mobile. Dans de nombreux cas, le bien-fondé du choix des sites retenus pour l'installation de l'antenne-relais et le bon usage des fonds publics ont été remis en cause par les riverains de ces infrastructures. Ils dénoncent, dans la plupart des cas, l'absence de concertation locale et un manque réel d'information lors de la construction des antennes, a minima sur les impacts de ces équipements sur leur santé. Par ailleurs, dans les cas où la création de l'antenne-relais résulte d'un partenariat public privée, les riverains ayant cherché à communiquer leurs griefs se sont heurtés à l'absence d'interlocuteur identifiable, l'entreprise niant bien souvent sa responsabilité et leur demandant de s'adresser à la collectivité territoriale, et vice versa. Beaucoup d'installations ont engendré des contentieux : à titre d'exemple, en Lozère, les infrastructures installées sur le site de Verdezun ont conduit les riverains à exercer plusieurs recours judiciaires. Il lui demande donc de mettre en place au plus vite une mission d'inspection et d'évaluation de la mise en place des antennes-relais de radiotéléphonie mobile sur le territoire national.
Transmise au Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie

Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie
publiée dans le JO Sénat du 29/05/2014 - page 1261
Le Gouvernement s'est engagé dès la Conférence environnementale de septembre 2012 à porter une attention particulière au sujet, et apprécier les suites législatives et réglementaires à proposer. Le travail mené par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) doit se poursuivre, notamment au regard du nombre important d'études et de travaux menés sur le sujet des effets des ondes électromagnétiques et de l'évolution rapide des usages et des consommations en matière de services mobiles. Le Gouvernement a pour cela veillé à maintenir le fond de 2 millions d'euros par an dont dispose l'ANSES pour des appels à projets de recherche consacrés aux risques associés aux ondes électromagnétiques. L'expertise de l'ANSES sur les effets sanitaires des radiofréquences sera désormais mise à jour chaque année, afin d'assurer aux citoyens une expertise actualisée. La proposition de loi relative à la sobriété, à la transparence et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques examinée par l'Assemblée nationale le 23 janvier a constitué une occasion particulière de concrétiser les avancées résultant des derniers travaux. Un consensus s'est dégagé autour de la recherche d'une plus grande sobriété en matière d'émission d'ondes électromagnétiques, qui devra guider les choix technologiques futurs. Les inspections générales ont travaillé sur le volet « information et concertation » du Comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile (COPIC). En s'appuyant sur les conclusions du COPIC remises en août 2013, sur l'actualisation du rapport ANSES en octobre 2013, et sur la publication en décembre 2013 du rapport Girard Tourtelier sur « Le développement des usages mobiles et le principe de sobriété », le texte adopté par l'Assemblée nationale donne corps à une modération des émissions d'ondes électromagnétiques. Il prévoit en particulier une série de dispositions de nature à améliorer la concertation locale lors de projets d'installation d'antennes relais, et à renforcer l'information du maire information du maire par écrit dès la phase de recherche du site d'implantation, transmission systématique d'un dossier d'information relative aux futures installations, possibilité de demander une simulation de l'exposition générée, ou encore de solliciter la médiation d'une instance de concertation départementale. Le législateur a également posé les bases d'une véritable politique de recensement et de traitement des points atypiques, où les niveaux d'exposition sont sensiblement supérieurs à la moyenne observée à l'échelle nationale, qui se voit confiée à l'Agence nationale des fréquences (ANFR). Ces points doivent être regardés spécifiquement et un recensement sérieux et régulier doit être fait. L'ANFR doit s'assurer qu'ils sont traités de façon adaptée par le ou les opérateurs concernés, ainsi que dans des délais raisonnables. La création d'un comité de dialogue placé sous l'égide de cette Agence permettra de poursuivre les réflexions en matière de radiofréquences en associant l'ensemble des parties prenantes, et de pérenniser les travaux du COPIC. La proposition de loi prévoit également l'élargissement de l'affichage du Débit d'absorption spécifique (DAS) à d'autres équipements que les téléphones portables, une campagne d'information pour limiter l'exposition aux ondes, notamment pour les enfants et jeunes adolescents, le renforcement de l'encadrement des publicités sur le sujet, et la publication d'un rapport au Parlement sur l'électro hypersensibilité. Enfin, le Gouvernement a pris dans la loi de finances pour 2013 une disposition permettant de rendre opérationnel, sous l'égide de l'ANFR, le nouveau dispositif de surveillance et de mesure des ondes électromagnétiques radiofréquences. Depuis le 1er janvier 2014, toute personne qui le souhaite peut solliciter gratuitement des mesures via un formulaire disponible sur le site www. service-public. fr. Cette réforme permet de renforcer la transparence et l'indépendance du financement des mesures et de rendre accessible à tous la connaissance de l'exposition aux ondes électromagnétiques. Les résultats des mesures seront rendus publics par l'ANFR sur le site www. cartoradio. fr, et les maires seront informés des résultats de toute mesure réalisée sur le territoire de leur commune, quel qu'en soit le demandeur.

Source : Site du Sénat

Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai